revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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revolver canon court ou long ? quelles différences ?
salut, j'aimerai savoir quelle modèle vous me conseiller entre un 1858 , 1860, 1861 et un 1851 snubnose ? le snubnose m'attire le plus par sa petite taille mais le refouloir est à part je connais pas trop
poudrenoir77- Messages : 2
Date d'inscription : 02/12/2018
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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Dernière édition par Snub 36 le Jeu 6 Déc 2018 - 14:11, édité 1 fois
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Si tu veux faire des cartons le poket ne vaut rien avec ou sans levier.
TexasJack- Messages : 72
Date d'inscription : 06/09/2014
Age : 70
Re : Revolver canon court ou long, quelles différences ?
poudrenoire77 :
Au temps du Wild West, les canons longs étaient réputés plus précis, mais c'était en partie
erroné...
Maintenant, c'est une question de goût :
- sur notre forum, on trouve beaucoup de fans du Colt 1860 Army Model (Duncan Oxberry, Dan
Wesson, Tex Tone etc.....) qui est une très belle arme au look superbe et très agréable au tir ;
- le Colt Navy 1861 Model est très bien fini avec un look très équilibré et je l'aime beaucoup
aussi, ainsi que l'ami Snub 36, spécialiste des Snubnose...
- il y a aussi des fans du Remington 1858/1863 New Army Model qui a fait ses preuves depuis
sa création dans le domaine de la robustesse et de la précision, ce pourquoi c'est le revolver
P.N. qu'on trouve à 90 % sur les pas de tir des stands...
- Le Colt Navy 1851 est un peu un "ancêtre" qui a donné satisfaction à de très nombreux
tireurs depuis sa création...
Ensuite, tu as de nombreuses répliques de ce Colt en version Nordiste ou Sudiste (carcasse
laiton, pour la plupart) que tu peux voir sur des sites du Net comme Western Guns etc... ou sur
Naturabuy en neuf ou occasion...
Enfin, tu peux choisir un modèle selon la grandeur de ta main ou d'autres critères dans les types
Schneider & Glassick, Dance & Brothers, Spiller & Burr, Leech & Rigdon, et des modèles à part
comme l'excellent Rogers & Spencer ou les Starr 1863 Simple Action ou Double Action...
Au temps du Wild West, les canons longs étaient réputés plus précis, mais c'était en partie
erroné...
Maintenant, c'est une question de goût :
- sur notre forum, on trouve beaucoup de fans du Colt 1860 Army Model (Duncan Oxberry, Dan
Wesson, Tex Tone etc.....) qui est une très belle arme au look superbe et très agréable au tir ;
- le Colt Navy 1861 Model est très bien fini avec un look très équilibré et je l'aime beaucoup
aussi, ainsi que l'ami Snub 36, spécialiste des Snubnose...
- il y a aussi des fans du Remington 1858/1863 New Army Model qui a fait ses preuves depuis
sa création dans le domaine de la robustesse et de la précision, ce pourquoi c'est le revolver
P.N. qu'on trouve à 90 % sur les pas de tir des stands...
- Le Colt Navy 1851 est un peu un "ancêtre" qui a donné satisfaction à de très nombreux
tireurs depuis sa création...
Ensuite, tu as de nombreuses répliques de ce Colt en version Nordiste ou Sudiste (carcasse
laiton, pour la plupart) que tu peux voir sur des sites du Net comme Western Guns etc... ou sur
Naturabuy en neuf ou occasion...
Enfin, tu peux choisir un modèle selon la grandeur de ta main ou d'autres critères dans les types
Schneider & Glassick, Dance & Brothers, Spiller & Burr, Leech & Rigdon, et des modèles à part
comme l'excellent Rogers & Spencer ou les Starr 1863 Simple Action ou Double Action...
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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Dernière édition par Snub 36 le Mer 5 Déc 2018 - 20:31, édité 1 fois
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Plus la ligne de mire est longue, plus les erreurs de visée apparaissent. En outre plus le canon est long plus la pression des gaz s'exerce "longtemps" sur le projectile et plus la vitesse initiale est élevée. Donc plus la trajectoire est tendue et moins la balle est sensible au vent et à l'humidité. L'influence du vent et de l'humidité1 est d'autant moins grande que la traînée est forte, que la durée de trajet est brève. Une V0 trop basse laisse le projectile plus sensible aux perturbations aérologiques qu'une V0 élevée.
Raccourcir le canon d'une arme conçue pour une longueur de canon donnée ne peut en rien améliorer son comportement au tir. C'est même toujours le contraire. Mais chacun voit midi à sa porte.
Raccourcir le canon d'une arme conçue pour une longueur de canon donnée ne peut en rien améliorer son comportement au tir. C'est même toujours le contraire. Mais chacun voit midi à sa porte.
1. En aérologie appliquée à la balistique on associe la température de l'air et celle de la poudre, le degré hygrométrique de l'air et les force et direction du vent. Ceci fait on applique les corrections dues à la pression atmosphérique du moment et du lieu. Plus le projectile est léger et moins il est rapide, plus il est sensible aux données aérologiques.
_________________
Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
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Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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Dernière édition par Snub 36 le Mer 5 Déc 2018 - 20:31, édité 1 fois
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Je crains que tu n'aie pas bien compris ma phrase. J'ai écrit : " Plus un projectile est léger et moins il est rapide, plus il est sensible aux données aérologiques".
Cela est très de différent de ce qu'aurait été la phrase : "Plus un projectile est léger, moins il est rapide". C'eut été une proposition indépendante dont la signification eut été fausse. En fait avec une même quantité de poudre, plus un projectile est léger plus sa vitesse initiale est grande lorsqu'on le tire dans le même canon.
Alors comme il me semble qu'il faille donner des explications voici l'analyse logique de la phraser que j'ai écrite :
"Plus un projectile est léger ET moins il est rapide..." proposition numéro un qui associe deux qualifications d'un projectile, sa masse et sa vitesse. Cela aurait pu se dire : "Lorsqu'un un projectile est à la fois léger et lent... " mais alors la proposition n'aurait pas rendu l'idée de progressivité de la masse ni celle de la vitesse.
Suit la deuxième proposition ; "... plus il est sensible aux données aérologiques." Cette proposition est une proposition en soi, coordonnée à la première par la virgule et qui indique que ce projectile À LA FOIS LEGER ET LENT est sensible aux conditions aérologiques.
La phrase entière est donc composée de deux propositions coordonnées par une virgule laquelle a un sens corrélatif comme la conjonction de coordination "et". L'emploi de la virgule évite la répétition de ladite conjonction de coordination qui sert déjà dans la première proposition de la phrase pour lier la notion de masse et celle de vitesse.
Dernière précision : L'emploi de l'adverbe "plus".
Premier mot de chacune des deux propositions, cet adverbe rend une idée de progressivité aux notions indiquées dans chacune des deux propositions coordonnées : "Plus le projectile est léger, plus il est lent, alors plus il est sensible aux effets de l'atmosphère." Cette phrase signifie la même chose que celle que tu incrimines dans mon "post" mais elle est beaucoup trop lourde pour ne pas entraîner des incidents de lecture. Ma phrase est plus fluide, et dit exactement la même chose pour peu qu'on prenne le temps de la lire. Car on n'écrit pas comme on parle.
Tirer une proposition de son contexte comme tu le fais en ne mettant en rouge que la première proposition d'un phrase qui en comporte deux est l'une des nombreuses façons de propager des fausses interprétations 'une déclaration. Ici, ce n'est pas important nous sommes entre nous, encore que...
Mais il est hors se question que je laisse croire que j'ai en quelque façon prétendu que plus un projectile est léger plus il est lent. Cette interprétation fallacieuse est le fait d'un défaut de concentration sur la totalité de la phrase. Quand l'un de mes petits-fils commet ce genre de bévue de débutant, je lui demande de lire la phrase à haute voix et alors pour lui tout s'éclaire.
En l'espèce cette phrase dit que :
- pour un même projectile, plus il est lent, plus il est sensible aux perturbations atmosphériques,
- pour un projectile qui va à une vitesse donnée, plus il est léger, plus il est sensible aux perturbations atmosphériques.
Et si on veut relier le tout en une phrase plus simple, on écrit :
" Plus un projectile est léger et plus il est lent, plus il est sensible aux données aérologiques." CQFD.
Mais comme je ne vais pas polluer le forum avec des cours d'analyse grammaticale et / ou logique, je demande aux lecteurs de bien lire et comprendre ce que j'écris pour être sûr que j'ai écrit une ânerie, ce qui doit m'arriver sur le fond, j'en suis certain parce que je ne sais pas tout, mais bien rarement dans la forme car je maîtrise l'écrit et que mes éditeurs ne le toléreraient pas. Les correcteurs de mes éditeurs reprennent des temps en temps des fautes de frappe ou d'inattention lorsque je me relis avant d'envoyer mon texte, mais jamais pour avoir écrit le contraire de ce que je veux dire. Encore heureux.
Cela est très de différent de ce qu'aurait été la phrase : "Plus un projectile est léger, moins il est rapide". C'eut été une proposition indépendante dont la signification eut été fausse. En fait avec une même quantité de poudre, plus un projectile est léger plus sa vitesse initiale est grande lorsqu'on le tire dans le même canon.
Alors comme il me semble qu'il faille donner des explications voici l'analyse logique de la phraser que j'ai écrite :
"Plus un projectile est léger ET moins il est rapide..." proposition numéro un qui associe deux qualifications d'un projectile, sa masse et sa vitesse. Cela aurait pu se dire : "Lorsqu'un un projectile est à la fois léger et lent... " mais alors la proposition n'aurait pas rendu l'idée de progressivité de la masse ni celle de la vitesse.
Suit la deuxième proposition ; "... plus il est sensible aux données aérologiques." Cette proposition est une proposition en soi, coordonnée à la première par la virgule et qui indique que ce projectile À LA FOIS LEGER ET LENT est sensible aux conditions aérologiques.
La phrase entière est donc composée de deux propositions coordonnées par une virgule laquelle a un sens corrélatif comme la conjonction de coordination "et". L'emploi de la virgule évite la répétition de ladite conjonction de coordination qui sert déjà dans la première proposition de la phrase pour lier la notion de masse et celle de vitesse.
Dernière précision : L'emploi de l'adverbe "plus".
Premier mot de chacune des deux propositions, cet adverbe rend une idée de progressivité aux notions indiquées dans chacune des deux propositions coordonnées : "Plus le projectile est léger, plus il est lent, alors plus il est sensible aux effets de l'atmosphère." Cette phrase signifie la même chose que celle que tu incrimines dans mon "post" mais elle est beaucoup trop lourde pour ne pas entraîner des incidents de lecture. Ma phrase est plus fluide, et dit exactement la même chose pour peu qu'on prenne le temps de la lire. Car on n'écrit pas comme on parle.
Tirer une proposition de son contexte comme tu le fais en ne mettant en rouge que la première proposition d'un phrase qui en comporte deux est l'une des nombreuses façons de propager des fausses interprétations 'une déclaration. Ici, ce n'est pas important nous sommes entre nous, encore que...
Mais il est hors se question que je laisse croire que j'ai en quelque façon prétendu que plus un projectile est léger plus il est lent. Cette interprétation fallacieuse est le fait d'un défaut de concentration sur la totalité de la phrase. Quand l'un de mes petits-fils commet ce genre de bévue de débutant, je lui demande de lire la phrase à haute voix et alors pour lui tout s'éclaire.
En l'espèce cette phrase dit que :
- pour un même projectile, plus il est lent, plus il est sensible aux perturbations atmosphériques,
- pour un projectile qui va à une vitesse donnée, plus il est léger, plus il est sensible aux perturbations atmosphériques.
Et si on veut relier le tout en une phrase plus simple, on écrit :
" Plus un projectile est léger et plus il est lent, plus il est sensible aux données aérologiques." CQFD.
Mais comme je ne vais pas polluer le forum avec des cours d'analyse grammaticale et / ou logique, je demande aux lecteurs de bien lire et comprendre ce que j'écris pour être sûr que j'ai écrit une ânerie, ce qui doit m'arriver sur le fond, j'en suis certain parce que je ne sais pas tout, mais bien rarement dans la forme car je maîtrise l'écrit et que mes éditeurs ne le toléreraient pas. Les correcteurs de mes éditeurs reprennent des temps en temps des fautes de frappe ou d'inattention lorsque je me relis avant d'envoyer mon texte, mais jamais pour avoir écrit le contraire de ce que je veux dire. Encore heureux.
Dernière édition par Cobravif le Jeu 6 Déc 2018 - 19:57, édité 1 fois
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Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Snub 36 a écrit:
"Plus le projectile est léger et moins il est rapide" On ne coupe pas une phrase pour en mésinterpréter le sens d'une des deux propositions coordonnées. Le tableau qui suit n'a rien à voir avec ce que j'ai écrit.
Le tableau le précise mais il me sembler bien que le .36 à balle ronde et le projectile le plus rapide (sauf le bœuf de Walker (qui a entre autre) aucune précision)
En fait les balistiques sont tout à fait plausible, sauf que .... en tir de précision on ne cherche pas la puissance de pénétration (Joules) inutile pour 1mm de carton à 25 mètres (voir 50 mètres) La puissance est en watts non en joules. Le joule est l'unité de mesure de la quantité d'énergie et par extension celle du travail fourni par ladite énergie. Attention aux remarques adressées à tort et à travers. Ça finit souvent par retomber sur le nez.
Au 1863 poket je tire à 7(Quilles) ou 10 mètres et malgré le canon court les résultats sont plus que satisfaisant
Et avec "Sözé " le 25 mètres... Même pas peur de me confronter au "Long nez".
On se demande pourquoi les armes de tir de précision ont un canon long...
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Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Bref, la construction de la phrase était seulement maladroite et source de confusion de fait.
Plus un projectile est ''léger'' et/ou ''lent'', plus il est soumis aux contraintes aerologiques... C'est plus clair, et sans ambiguïté.
Plus un projectile est ''léger'' et/ou ''lent'', plus il est soumis aux contraintes aerologiques... C'est plus clair, et sans ambiguïté.
dachyb- Messages : 53
Date d'inscription : 17/05/2014
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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Dernière édition par Snub 36 le Mer 5 Déc 2018 - 20:32, édité 1 fois
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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Dernière édition par Snub 36 le Mer 5 Déc 2018 - 20:33, édité 1 fois
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Snub 36 a écrit:Certes, mais visiblement Cobra veudachyb a écrit:Bref, la construction de la phrase était seulement maladroite et source de confusion de fait.
Plus un projectile est ''léger'' et/ou ''lent'', plus il est soumis aux contraintes aerologiques... C'est plus clair, et sans ambiguïté.xt se lancer dans une carrière politique ................
Outre que je ne vois pas ce que vient faire ici la politique, avant que de critiquer ma syntaxe il serait bon d'écrire sans faute les phrases simples.
Quant à ta phrase à toi, elle veut dire presque la même chose que la mienne mais elle présente une syntaxe incorrecte. La locution et/ou ne fait pas partie de l'expression écrite mais de la symbolique de la logique.
Je n'ai pas couperé la phrase, (virgule) je suis allezé jusque à la virgule, bon c'est pas grave, je cherche pas "noise" c'était seulement pour ne pas faire un doute sur la rapidité des projectiles léger , un "Walker" en calibre .36 serais tout aussi, voir plus puissant qu'un 357,évidemment l'emplombage serait "garantie"
Eh si ! Tu as coupé la phrase, en séparant deux propositions coordonnées par une virgule. La phrase n'a son sens que complète et si tu la coupes en deux tu la détruis. La deuxième proposition est indispensable à la bonne compréhension de la première.
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Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
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Dernière édition par Snub 36 le Jeu 6 Déc 2018 - 14:07, édité 1 fois
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Snub 36 a écrit : "]'ai beau chercher je ne trouve pas de watts dans le domaine de balistique de tir
Un lien s'il te plait (je suis loin de maîtriser le sujet), mais j'essaie d'apprendre (y a pas d'âge).
Mais j'ai cru lire "Plus le projectile est léger et moins il est rapide, plus il est sensible aux données aérologiques". Donc + projectile léger - de rapidité, ce qui est faux, ensuite + il est sensible aux données aérologiques, ce qui fait très scientifique mais néanmoins vrais
D’où ma réflexion que cela doit être une réponse de politique
Je cherche mais ne trouve pas ou j'ai critiqué ta syntaxe
- Si c'est :
"dachyb" a écrit:
Bref, la construction de la phrase était seulement maladroite et source de confusion de fait.
Plus un projectile est ''léger'' et/ou ''lent'', plus il est soumis aux contraintes aerologiques... C'est plus clair, et sans ambiguïté.
- Cela peut passer pour une critique, mais critique constructive.
Une critique est constructive si elle est justifiée.
Au revoir
Un lien s'il te plait (je suis loin de maîtriser le sujet), mais j'essaie d'apprendre (y a pas d'âge).
C'est normal que tu ne trouves pas de watt en balistique parce qu'on en mesure pas la puissance d'une arme mais l'énergie qu'elle dispense.
Quant à l'acquisition toujours louable de connaissances nouvelles, ce n'est pas un simple lien qu'il faudrait que je t'indique mais les cours de balistique intérieure et extérieure des tubes, cours d'ingénieur que j'ai suivis à Saint-Cyr d'abord et à l'école d'artillerie ensuite où ces cours ont été encore plus poussés qu'à Saint-Cyr.
En balistique intérieure on tient compte de pression des gaz, de progressivité des poudres, de vibrations intérieures de l'onde de propagation des gaz, et notamment des nœuds de vibrations au niveau de la bouche des tubes. Au niveau des mécanismes d'alimentation par magasins ou chargeurs on tient compte de la quantité de mouvement des pièces mobiles et du projectile mais aussi de la pression résiduelle dans le tube au moment de la sortie du projectile et légèrement après car la pression des gaz ne descend pas instantanément à 0 lorsque sort le projectile. On tient compte ensuite de la mécanique des ressorts, leur réactivité, leur coefficient de compression ou de torsion leur longueur avant compression et leur longueur spires jointives. Pour les armes lourdes on tient compte des données mécaniques des liens élastiques, piston récupérateur et piston de frein ainsi que de la conception du régulateur d'écoulement du liquide de récupérateur.
En balistique extérieure, on tient compte des données aérologiques pour l'influence sur les trajectoires mais aussi de la dérivation des projectiles gyroscopes (ceux qui sont tirés dans un canon rayé comme nos balles de tir par exemple). Pour mesurer l'efficacité des projectiles on tient compte de l'énergie cinétique à l'impact, mais pas seulement.
En fonction de l'effet recherché on mettra l'accent sur le coefficient de pénétration dans l'objectif ou de l’effet de choc. L'effet de choc peut être la "puissance" d'arrêt qui déséquilibre la cible et l'envoie au sol ou le choc hydrodynamique qui dans un corps peut complètement perturber les fonctions vitales ou dans un réservoir de liquide ou de fluide plus épais peut créer une vague qui conduit à le faire éclater et à répandre le contenu à l'extérieur. La puissance d'arrêt est une dénomination approximative et elle ne se mesure pas en watt parce que ce n'est pas une puissance mais une énergie qui se disperse dans la cible.
Quel que soit l'effet de choc, effet d'arrêt ou effet hydrodynamique, il résulte de l'énergie cinétique résiduelle et s'exprime donc lui aussi en joules.
Et pour comprendre l'importance de ces données de trajectoire, ils faut simplement écouter le cours de pointage à longue distance que l'on dispense aux stagiaires tireurs d'élite de l'armée ou de la police. Et encore, ces cours sont-ils très sommaires en matière de balistique puisqu'il suffit aux tireurs d’élite d'en connaître quelques bases et ensuite de les appliquer à un seul type d'arme et un seul type de munition. Chaque fois que le tireur d'élite change de type d'arme, il suit un stage de qualification sur la nouvelle arme comme un pilote doit se qualifier pour tout changement de modèle d'avion.
Et en ce qui concerne la longueur des canons, il faut savoir que chaque canon est étudié autour d'une munition et ensuite il est réalisé pour elle. Ainsi les revolvers de qualité à canon court ne sont-ils pas équipés d'un canon analogue à ceux des versions longues mais qu'on aurait simplement scié. Il sont équipés de canons étudiés pour une longueur donnée et autour d'une munition donnée qui peut être celle tirée par la version plus longue de l'arme.
Le fabricant qui veut créer le modèle "snub nose" d'un revolver "normal" doit donc étudier un nouveau canon à la nouvelle longueur. Pour ce faire il joue sur les rayures et ajuste la longueur parfois au centième de millimètre. De la même façon, il travaille l’ampleur et la forme du cône de bouche pour que le nœud de vibration soit situé au niveau de la fin de la partie rayée.
Encore milles fois pardon mais ma compréhension doit être aussi, comme tu l'écrit sur le forum " il serait bon d'écrire sans faute les phrases simples." (argumentum ad personam)Quant à l'acquisition toujours louable de connaissances nouvelles, ce n'est pas un simple lien qu'il faudrait que je t'indique mais les cours de balistique intérieure et extérieure des tubes, cours d'ingénieur que j'ai suivis à Saint-Cyr d'abord et à l'école d'artillerie ensuite où ces cours ont été encore plus poussés qu'à Saint-Cyr.
En balistique intérieure on tient compte de pression des gaz, de progressivité des poudres, de vibrations intérieures de l'onde de propagation des gaz, et notamment des nœuds de vibrations au niveau de la bouche des tubes. Au niveau des mécanismes d'alimentation par magasins ou chargeurs on tient compte de la quantité de mouvement des pièces mobiles et du projectile mais aussi de la pression résiduelle dans le tube au moment de la sortie du projectile et légèrement après car la pression des gaz ne descend pas instantanément à 0 lorsque sort le projectile. On tient compte ensuite de la mécanique des ressorts, leur réactivité, leur coefficient de compression ou de torsion leur longueur avant compression et leur longueur spires jointives. Pour les armes lourdes on tient compte des données mécaniques des liens élastiques, piston récupérateur et piston de frein ainsi que de la conception du régulateur d'écoulement du liquide de récupérateur.
En balistique extérieure, on tient compte des données aérologiques pour l'influence sur les trajectoires mais aussi de la dérivation des projectiles gyroscopes (ceux qui sont tirés dans un canon rayé comme nos balles de tir par exemple). Pour mesurer l'efficacité des projectiles on tient compte de l'énergie cinétique à l'impact, mais pas seulement.
En fonction de l'effet recherché on mettra l'accent sur le coefficient de pénétration dans l'objectif ou de l’effet de choc. L'effet de choc peut être la "puissance" d'arrêt qui déséquilibre la cible et l'envoie au sol ou le choc hydrodynamique qui dans un corps peut complètement perturber les fonctions vitales ou dans un réservoir de liquide ou de fluide plus épais peut créer une vague qui conduit à le faire éclater et à répandre le contenu à l'extérieur. La puissance d'arrêt est une dénomination approximative et elle ne se mesure pas en watt parce que ce n'est pas une puissance mais une énergie qui se disperse dans la cible.
Quel que soit l'effet de choc, effet d'arrêt ou effet hydrodynamique, il résulte de l'énergie cinétique résiduelle et s'exprime donc lui aussi en joules.
Et pour comprendre l'importance de ces données de trajectoire, ils faut simplement écouter le cours de pointage à longue distance que l'on dispense aux stagiaires tireurs d'élite de l'armée ou de la police. Et encore, ces cours sont-ils très sommaires en matière de balistique puisqu'il suffit aux tireurs d’élite d'en connaître quelques bases et ensuite de les appliquer à un seul type d'arme et un seul type de munition. Chaque fois que le tireur d'élite change de type d'arme, il suit un stage de qualification sur la nouvelle arme comme un pilote doit se qualifier pour tout changement de modèle d'avion.
Et en ce qui concerne la longueur des canons, il faut savoir que chaque canon est étudié autour d'une munition et ensuite il est réalisé pour elle. Ainsi les revolvers de qualité à canon court ne sont-ils pas équipés d'un canon analogue à ceux des versions longues mais qu'on aurait simplement scié. Il sont équipés de canons étudiés pour une longueur donnée et autour d'une munition donnée qui peut être celle tirée par la version plus longue de l'arme.
Le fabricant qui veut créer le modèle "snub nose" d'un revolver "normal" doit donc étudier un nouveau canon à la nouvelle longueur. Pour ce faire il joue sur les rayures et ajuste la longueur parfois au centième de millimètre. De la même façon, il travaille l’ampleur et la forme du cône de bouche pour que le nœud de vibration soit situé au niveau de la fin de la partie rayée.
Mais j'ai cru lire "Plus le projectile est léger et moins il est rapide, plus il est sensible aux données aérologiques". Donc + projectile léger - de rapidité, ce qui est faux, ensuite + il est sensible aux données aérologiques, ce qui fait très scientifique mais néanmoins vrais
D’où ma réflexion que cela doit être une réponse de politique
Je cherche mais ne trouve pas ou j'ai critiqué ta syntaxe
- Si c'est :
"dachyb" a écrit:
Bref, la construction de la phrase était seulement maladroite et source de confusion de fait.
Plus un projectile est ''léger'' et/ou ''lent'', plus il est soumis aux contraintes aerologiques... C'est plus clair, et sans ambiguïté.
La critique de ma syntaxe est le fait de dachyb. Ma phrase ne peut signifier que ce que j'ai expliqué c'est à dire que la vitesse et la masse du projectile ont un effet sur la sensibilité aux données aérologiques. la conjonction ET est copulative et signifie donc que les deux données relatives au projectile ont une influence. Si j'avais employé la conjonction de coordination OU, elle aurait été alternative et aurait pu conduire à penser que l'influence aurait été due à l'une ou l'autre des données, l'une excluant l'autre. l'emploi de "et/ou" qui n'est pas correct en syntaxe modifie en outre le sens de la première proposition de la phrase en y apportant un flou qui, lui, sent son discours politique.
- Cela peut passer pour une critique, mais critique constructive.
Une critique est constructive si elle est justifiée.
Au revoir
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Pour en revenir a ta réflexion que la puissance s'exprime en "Watts et non en Joules" :
"L'unité de puissance du SI( Système international d'unités (abrégé en SI) est le watt (symbole : W), qui correspond à un joule fourni par seconde." le Watts et donc le Joule fourni par seconde
Ensuite, oui, ta syntaxe est a hièch, nous sommes un forum de tireur de PN on ne sort pas tous de St-Cyr.
Donc les expression du genre "Pile je gagne, face tu perds" type de discours paradoxal de "plus c'est petit moins ça va vite" peut facilement embrouiller une lecture rapide. Forumique dirai-je
Troisième point, qui est valable pour tout le monde (citation) "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." de Mark Twain
Mon 1858 que j'ai "couper" en snub est PRÉCIS à 25 mètres, certes le hasard a certainement voulu que je coupe au "bon" endroit, probablement en distance de rayure, mes impacts sont des plus "rond" y compris et surtout avec des ogivales. Mon "laser vert" (de bonne facture) fermement fixer sur la carcasse du 1858 me permet de corriger le "coup de doigt" ce qui me donne des cartons certes "impropre" pour du tir PN, néanmoins d'une précision redoutable en un temps de visée très court
Quatrième point et non des moindres, sur un forum "Public" en arriver a "argumentum ad personam" .... une attaque personnelle portée par l'une des parties à la partie adverse sans rapport avec le sujet et petit et minable, qui plus est, ... est le dernier argument des plus salissant pour la personne incriminé (les fôtes de fransais )
MAIS à "décharge" ........ tout comme un chirurgien aura de par sa profession une approche différente de la propreté d'un lieu....
Un militaire quelque soit son niveau d'instruction, de part son milieu professionnel n'en restera pas moins qu'un bidasse (voir aussi Pioupiou ou Tourlourou) ceci expliquant peut être la bassesse de l'attaque personnelle de la part d'un modérateur .
"L'unité de puissance du SI( Système international d'unités (abrégé en SI) est le watt (symbole : W), qui correspond à un joule fourni par seconde." le Watts et donc le Joule fourni par seconde
Ensuite, oui, ta syntaxe est a hièch, nous sommes un forum de tireur de PN on ne sort pas tous de St-Cyr.
Donc les expression du genre "Pile je gagne, face tu perds" type de discours paradoxal de "plus c'est petit moins ça va vite" peut facilement embrouiller une lecture rapide. Forumique dirai-je
Troisième point, qui est valable pour tout le monde (citation) "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." de Mark Twain
Mon 1858 que j'ai "couper" en snub est PRÉCIS à 25 mètres, certes le hasard a certainement voulu que je coupe au "bon" endroit, probablement en distance de rayure, mes impacts sont des plus "rond" y compris et surtout avec des ogivales. Mon "laser vert" (de bonne facture) fermement fixer sur la carcasse du 1858 me permet de corriger le "coup de doigt" ce qui me donne des cartons certes "impropre" pour du tir PN, néanmoins d'une précision redoutable en un temps de visée très court
Quatrième point et non des moindres, sur un forum "Public" en arriver a "argumentum ad personam" .... une attaque personnelle portée par l'une des parties à la partie adverse sans rapport avec le sujet et petit et minable, qui plus est, ... est le dernier argument des plus salissant pour la personne incriminé (les fôtes de fransais )
MAIS à "décharge" ........ tout comme un chirurgien aura de par sa profession une approche différente de la propreté d'un lieu....
Un militaire quelque soit son niveau d'instruction, de part son milieu professionnel n'en restera pas moins qu'un bidasse (voir aussi Pioupiou ou Tourlourou) ceci expliquant peut être la bassesse de l'attaque personnelle de la part d'un modérateur .
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
poudrenoir77 a écrit:salut, j'aimerai savoir quelle modèle vous me conseiller entre un 1858 , 1860, 1861 et un 1851 snubnose ? le snubnose m'attire le plus par sa petite taille mais le refouloir est à part je connais pas trop
Ah heu désolé poudrenoir77 d'avoir pourri ton topic, je te répondrais sur "Forum Poudre Noire
Forum sur les armes anciennes et le tir à la poudre noire", ou tu a posé la même question,
mes excuses
snub 36
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
C'est affligeant de voir qu'une personne aie un ego tellement démesuré, qu'elle est incapable de reconnaitre une erreur de syntaxe toute banale, et qu'au lieu d'en prendre la mesure, elle se réfugie dans une logorrhée de pseudos ''arguments'' suant de mauvaise foi, jusqu'à l'absurde de l'invention de nouvelles règles grammaticales...
Au final, le seul résultat est de perdre toute crédibilité, y compris dans les domaines techniques, ou elle paraissait alors pourtant pertinente.
On retrouve ici une posture jusqu'au boutiste typiques de militaires incompétents et imbus d'eux mêmes, incapables de reconnaitre leurs limites et leurs erreurs, telle que l'histoire en regorge, et qui conduisent a des échecs aussi à anthologiques que meurtriers...
Je laisse te complaire a charger aveuglément, et sans stratégie dans ce petit Azincourt...le spectacle n'a aucun intérêt, et il y a heureusement d'autres lieux ou l'on peut discuter intelligemment de ce même sujet...
Au final, le seul résultat est de perdre toute crédibilité, y compris dans les domaines techniques, ou elle paraissait alors pourtant pertinente.
On retrouve ici une posture jusqu'au boutiste typiques de militaires incompétents et imbus d'eux mêmes, incapables de reconnaitre leurs limites et leurs erreurs, telle que l'histoire en regorge, et qui conduisent a des échecs aussi à anthologiques que meurtriers...
Je laisse te complaire a charger aveuglément, et sans stratégie dans ce petit Azincourt...le spectacle n'a aucun intérêt, et il y a heureusement d'autres lieux ou l'on peut discuter intelligemment de ce même sujet...
dachyb- Messages : 53
Date d'inscription : 17/05/2014
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
de"Snub 36
"Pour en revenir a ta réflexion que la puissance s'exprime en "Watts et non en Joules" :
"L'unité de puissance du SI( Système international d'unités (abrégé en SI) est le watt (symbole : W), qui correspond à un joule fourni par seconde." le Watts et donc le Joule fourni par seconde
Ensuite, oui, ta syntaxe est a hièch, nous sommes un forum de tireur de PN on ne sort pas tous de St-Cyr.
Donc les expression du genre "Pile je gagne, face tu perds" type de discours paradoxal de "plus c'est petit moins ça va vite" peut facilement embrouiller une lecture rapide. Forumique dirai-je
Troisième point, qui est valable pour tout le monde (citation) "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." de Mark Twain
Mon 1858 que j'ai "couper" en snub est PRÉCIS à 25 mètres, certes le hasard a certainement voulu que je coupe au "bon" endroit, probablement en distance de rayure, mes impacts sont des plus "rond" y compris et surtout avec des ogivales. Mon "laser vert" (de bonne facture) fermement fixer sur la carcasse du 1858 me permet de corriger le "coup de doigt" ce qui me donne des cartons certes "impropre" pour du tir PN, néanmoins d'une précision redoutable en un temps de visée très court
Quatrième point et non des moindres, sur un forum "Public" en arriver a "argumentum ad personam" .... une attaque personnelle portée par l'une des parties à la partie adverse sans rapport avec le sujet et petit et minable, qui plus est, ... est le dernier argument des plus salissant pour la personne incriminé (les fôtes de fransais )
MAIS à "décharge" ........ tout comme un chirurgien aura de par sa profession une approche différente de la propreté d'un lieu....
Un militaire quelque soit son niveau d'instruction, de part son milieu professionnel n'en restera pas moins qu'un bidasse (voir aussi Pioupiou ou Tourlourou) ceci expliquant peut être la bassesse de l'attaque personnelle de la part d'un modérateur .
"Pour en revenir a ta réflexion que la puissance s'exprime en "Watts et non en Joules" :
"L'unité de puissance du SI( Système international d'unités (abrégé en SI) est le watt (symbole : W), qui correspond à un joule fourni par seconde." le Watts et donc le Joule fourni par seconde
Qui a dit le contraire ? Simplement on ne prend pas en compte la puissance dans la balistique des armes comme les nôtres et il est donc normal que tu ne la trouves pas dans les articles qui en parlent. On s’intéresse aux quantités d’énergie et donc les résultats s’expriment en joules.
Soit dit en passant, ta dernière phrase est incompréhensible si on ne la lit pas à haute voix.
Telle qu'elle est écrite on comprend : Le watt au pluriel (il y a un S) et puis donc le joule par seconde. Il eut mieux valu écrire : " Le watt est donc le joule fourni par seconde." Ce qui ne veut rien dire non plus.
Le bon écrit est : "Signification physique du Watt : Le Watt est la puissance fournie par une énergie d'un Joule en une seconde." (Cours de physique de seconde C par Tréherne, Cessac et Moreau en 1970).
Soit dit en passant, ta dernière phrase est incompréhensible si on ne la lit pas à haute voix.
Telle qu'elle est écrite on comprend : Le watt au pluriel (il y a un S) et puis donc le joule par seconde. Il eut mieux valu écrire : " Le watt est donc le joule fourni par seconde." Ce qui ne veut rien dire non plus.
Le bon écrit est : "Signification physique du Watt : Le Watt est la puissance fournie par une énergie d'un Joule en une seconde." (Cours de physique de seconde C par Tréherne, Cessac et Moreau en 1970).
Ensuite, oui, ta syntaxe est a hièch, nous sommes un forum de tireur de PN on ne sort pas tous de St-Cyr.
Donc les expression du genre "Pile je gagne, face tu perds" type de discours paradoxal de "plus c'est petit moins ça va vite" peut facilement embrouiller une lecture rapide. Forumique dirai-je
Quel dommage qu'une phrase aussi simple requière du temps pour qu'un lecteur courant la comprenne. Si au lieu de la saucissonner on l'avait vraiment lue, je n'aurais pas dû intervenir pour rectifier la distorsion de sens à laquelle on l'avait soumise. Point n'est besoin de "sortir de Saint-Cyr" pour comprendre le français, que je sache. Je me demande combien de temps il aurait fallu pour la comprendre si elle avait contenu un verbe au subjonctif...
De toute façon si j'ai rectifié l'interprétation qui avait été faite de ma phrase, c'est que je ne veux pas qu'on déforme ce que j'écris au motif qu'on n'a pas été capable de comprendre une phrase simple. Nombre de membres de ce forum et d'un autre ont été satisfaits des travaux d'armurerie que j'ai exécutés à leur profit, il suivent mes explications techniques ou scientifiques et je ne voudrais pas qu'ils fussent abusés par des interprétations erronées ou fallacieuses.
Ensuite, dis-tu, ma syntaxe est "a hièch". Le choix de ce mot exotique montre un certain manque de contrôle et une certaine pauvreté sémantique. Et sans entrer dans la morphologie et la syntaxe des tes écrits, disons que ton orthographe est compatible avec ton niveau sémantique. Par exemple, il eut été plus conforme aux règles de l'écrit de poser la locution "à hièch" plutôt que "a hièch". Je te laisse chercher pourquoi.
De toute façon si j'ai rectifié l'interprétation qui avait été faite de ma phrase, c'est que je ne veux pas qu'on déforme ce que j'écris au motif qu'on n'a pas été capable de comprendre une phrase simple. Nombre de membres de ce forum et d'un autre ont été satisfaits des travaux d'armurerie que j'ai exécutés à leur profit, il suivent mes explications techniques ou scientifiques et je ne voudrais pas qu'ils fussent abusés par des interprétations erronées ou fallacieuses.
Ensuite, dis-tu, ma syntaxe est "a hièch". Le choix de ce mot exotique montre un certain manque de contrôle et une certaine pauvreté sémantique. Et sans entrer dans la morphologie et la syntaxe des tes écrits, disons que ton orthographe est compatible avec ton niveau sémantique. Par exemple, il eut été plus conforme aux règles de l'écrit de poser la locution "à hièch" plutôt que "a hièch". Je te laisse chercher pourquoi.
Troisième point, qui est valable pour tout le monde (citation) "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." de Mark Twain
Mon 1858 que j'ai "couper" en snub est PRÉCIS à 25 mètres, certes le hasard a certainement voulu que je coupe au "bon" endroit, probablement en distance de rayure, mes impacts sont des plus "rond" y compris et surtout avec des ogivales. Mon "laser vert" (de bonne facture) fermement fixer sur la carcasse du 1858 me permet de corriger le "coup de doigt" ce qui me donne des cartons certes "impropre" pour du tir PN, néanmoins d'une précision redoutable en un temps de visée très court
Que tu montes un appareil de visée anachronique sur une arme massacrée, que cette arme massacrée continue à grouper correctement, par chance tu le reconnais toi-même, rien de ceci n'invalide les remarques que l'ai émises pour répondre à la question de ce fil, à savoir :
Je serais curieux de voir les résultats que tu obtiens avec des appareils de visée normaux.
Plus une ligne de visée est courte, moins précise est la visée. Prétendre le contraire me paraît surprenant. Mais pour être probante, une expérience doit aboutir aux mêmes résultats si on la reproduit plusieurs fois dans les mêmes conditions. Je précise ma pensée pour éviter toute incompréhension : il faudrait recommencer le raccourcissement de plusieurs 1858 dans les mêmes conditions pour voir si tous conservent la même qualité de groupement, puisque tu dis toi-même que ton arme continue à bien grouper.
Mon exposé vise simplement à répondre à la question posée.
-revolver-canon-court-ou-long-quelles-differences-
Je serais curieux de voir les résultats que tu obtiens avec des appareils de visée normaux.
Plus une ligne de visée est courte, moins précise est la visée. Prétendre le contraire me paraît surprenant. Mais pour être probante, une expérience doit aboutir aux mêmes résultats si on la reproduit plusieurs fois dans les mêmes conditions. Je précise ma pensée pour éviter toute incompréhension : il faudrait recommencer le raccourcissement de plusieurs 1858 dans les mêmes conditions pour voir si tous conservent la même qualité de groupement, puisque tu dis toi-même que ton arme continue à bien grouper.
Mon exposé vise simplement à répondre à la question posée.
Quatrième point et non des moindres, sur un forum "Public" en arriver a "argumentum ad personam" .... une attaque personnelle portée par l'une des parties à la partie adverse sans rapport avec le sujet et petit et minable, qui plus est, ... est le dernier argument des plus salissant pour la personne incriminé (les fôtes de fransais )
Premièrement sur un forum de discussion, il n'y a pas de partie adverse, nous ne sommes pas au tribunal.
Secundo, on a travesti le sens de ce que j'ai écrit et lorsque je me suis expliqué on m'a reproché d'avoir écrit de manière incompréhensible une phrase qui reste sans ambiguïté pour qui lit normalement le français. Je veux bien admettre toutes les fautes de français dans un post qui reste courtois mais lorsqu'on critique mon expression écrite qui a fait ses preuves depuis longtemps lors d'examens et concours ou chez mes éditeurs, là je rouspète.
Depuis six ans que j'interviens sur ce forum et sur d'autres, c'est la première fois que je dois argumenter sur mon expression écrite comme je le fais depuis hier.
Je conçois tout à fait qu'un intervenant ne soit pas un as de l'expression écrite. Depuis des années je lis des posts passionnants de gens qui ont de choses à dire autre que les légendes de pas de tir. Des tireurs à la carabine qui ont une expérience de rechargement édifiante mais qui ne maîtrisent pas forcément l'orthographe. Je cite cet exemple parce que je pense à quelqu'un que j'admire beaucoup. Parfois je suis obligé de lire son post à voix haute pour comprendre ce qu'il a voulu dire. Mais ça ne me gène pas. De temps à autre il m'arrive de demander une explication à l'un ou l'autre, en général en M.P. Jamais ils ne se fâchent et ils sentent bien que ce qu'ils écrivent m'intéresse et que cherche à bien comprendre. Il est aussi intelligent de chercher à comprendre ce que quelqu'un a mal exprimé parce qu'il maîtrise pas bien l'écrit que de demander une explication sur quelque chose de "trop" bien écrit. L'essentiel est de se comprendre. Les fautes, ce n'est pas important, nous ne sommes pas en Fac. Tous les "forumeurs" ont des choses à dire, des choses utiles et il n'y aucun sujet futile. Redresser une mauvaise interprétation conduit toujours à une discussion. Et si cet accroc avait pu servir de moyen d'améliorer une compréhension de l'écrit ç'aurait été parfait. Que cela débouche sur un "procès" me paraît stupide.
Ce n'est pas pour rien que je suis modérateur sur ce forum. Mais mon cher snub, il y a des limites à tout.
Secundo, on a travesti le sens de ce que j'ai écrit et lorsque je me suis expliqué on m'a reproché d'avoir écrit de manière incompréhensible une phrase qui reste sans ambiguïté pour qui lit normalement le français. Je veux bien admettre toutes les fautes de français dans un post qui reste courtois mais lorsqu'on critique mon expression écrite qui a fait ses preuves depuis longtemps lors d'examens et concours ou chez mes éditeurs, là je rouspète.
Depuis six ans que j'interviens sur ce forum et sur d'autres, c'est la première fois que je dois argumenter sur mon expression écrite comme je le fais depuis hier.
Je conçois tout à fait qu'un intervenant ne soit pas un as de l'expression écrite. Depuis des années je lis des posts passionnants de gens qui ont de choses à dire autre que les légendes de pas de tir. Des tireurs à la carabine qui ont une expérience de rechargement édifiante mais qui ne maîtrisent pas forcément l'orthographe. Je cite cet exemple parce que je pense à quelqu'un que j'admire beaucoup. Parfois je suis obligé de lire son post à voix haute pour comprendre ce qu'il a voulu dire. Mais ça ne me gène pas. De temps à autre il m'arrive de demander une explication à l'un ou l'autre, en général en M.P. Jamais ils ne se fâchent et ils sentent bien que ce qu'ils écrivent m'intéresse et que cherche à bien comprendre. Il est aussi intelligent de chercher à comprendre ce que quelqu'un a mal exprimé parce qu'il maîtrise pas bien l'écrit que de demander une explication sur quelque chose de "trop" bien écrit. L'essentiel est de se comprendre. Les fautes, ce n'est pas important, nous ne sommes pas en Fac. Tous les "forumeurs" ont des choses à dire, des choses utiles et il n'y aucun sujet futile. Redresser une mauvaise interprétation conduit toujours à une discussion. Et si cet accroc avait pu servir de moyen d'améliorer une compréhension de l'écrit ç'aurait été parfait. Que cela débouche sur un "procès" me paraît stupide.
Ce n'est pas pour rien que je suis modérateur sur ce forum. Mais mon cher snub, il y a des limites à tout.
MAIS à "décharge" ........ tout comme un chirurgien aura de par sa profession une approche différente de la propreté d'un lieu....
Un militaire quelque soit son niveau d'instruction, de part son milieu professionnel n'en restera pas moins qu'un bidasse (voir aussi Pioupiou ou Tourlourou) ceci expliquant peut être la bassesse de l'attaque personnelle de la part d'un modérateur .
Le bidasse te salue bien. Tiens à propos, pourrais tu m'expliquer la différence que tu fais entre les deux locutions "de par" et "de part" . Est-ce pour le chirurgien que tu écrit "de par" et pour le bidasse que tu écris "de part" ou bien est-ce pour la profession que tu mets "de par" et pour le milieu professionnel que tu mets "de part". C'est étrange... peut-être "de par" est-il suivi par un nom féminin et "de part" par un nom masculin... Si, je m'interroge. Je ne connaissais que la locution "de par" qui signifie "étant donné" et aussi sa signification ancienne qui perdure dans certains domaines. En effet la locution prépositive "de par" a encore son sens premier « de la part de », « au nom de », dans des formules figées comme "de par le Roi", "de par la loi", "de par la constitution", "de par la justice".
Enfin un bidasse ne reste pas forcément un bidasse. Tiens, moi, par exemple, j'ai été simple soldat, bidasse donc, mais ensuite je suis devenu rapidement officier en passant le concours de Saint-Cyr. J'ai aussi été professeur de français, d'anglais et d'arabe, dans le cadre l'armée mais aussi dans le civil. Par concours internes je suis devenu ingénieur de l'armement. Puis ayant pris ma retraite de l'armée, je suis redevenu professeur mais dans le civil et toujours en français, en anglais et en arabe. J'ai été géomètre et expert judiciaire dans cette spécialité.
Maintenant ayant pris enfin une retraite définitive que j'estime méritée, je continue des activités bénévoles dans divers domaines. Et bien sûr je mets au service de qui bon me semble sur les fora (c'est le pluriel de forum) mes modestes aptitudes en armement. Uniquement ce que les armuriers ne veulent pas faire.
En ce qui concerne une prétendue attaque personnelle, je considère qu'il ne s'agit que d'une réponse du berger à la bergère.
La bassesse est loin de mon état d'esprit, nombre de gens que j'ai tirés d'affaire en opérations un peu partout dans le monde en sont persuadés. Ma Légion d'Honneur et mon Ordre National du Mérite, je les ai gagnés au feu et non rampant dans les couloirs de l'intérieur du boulevard périphérique.
Nombre de mes anciens subordonnés, sous-officiers et soldats, sont restés en contact avec moi ou ont repris contact - merci "fesse de bouc".
Je sens en ta remarque un antimilitarisme tout ce qu'il y a de plus méprisable. Pendant que tu fais "pouêt pouêt" avec ton 1858 massacré, des jeunes gars en bavent des ronds de casque sous le soleil du désert ou dans les neiges d'Afghanistan. Le moindre de ces "piou piou" a des génitoires plus grosses que les tiennes et un sens du devoir que tu ferais bien d'observer. Et les officiers qui partagent leur sort savent Dieu merci comprendre les ordres écrits qu'ils reçoivent sans en modifier le sens.
Pour terminer j'adore Brassens. Et je tire de son œuvre magnifique la certitude qu'il y a bien peu de chances qu'on te détrône un jour.
Enfin un bidasse ne reste pas forcément un bidasse. Tiens, moi, par exemple, j'ai été simple soldat, bidasse donc, mais ensuite je suis devenu rapidement officier en passant le concours de Saint-Cyr. J'ai aussi été professeur de français, d'anglais et d'arabe, dans le cadre l'armée mais aussi dans le civil. Par concours internes je suis devenu ingénieur de l'armement. Puis ayant pris ma retraite de l'armée, je suis redevenu professeur mais dans le civil et toujours en français, en anglais et en arabe. J'ai été géomètre et expert judiciaire dans cette spécialité.
Maintenant ayant pris enfin une retraite définitive que j'estime méritée, je continue des activités bénévoles dans divers domaines. Et bien sûr je mets au service de qui bon me semble sur les fora (c'est le pluriel de forum) mes modestes aptitudes en armement. Uniquement ce que les armuriers ne veulent pas faire.
En ce qui concerne une prétendue attaque personnelle, je considère qu'il ne s'agit que d'une réponse du berger à la bergère.
La bassesse est loin de mon état d'esprit, nombre de gens que j'ai tirés d'affaire en opérations un peu partout dans le monde en sont persuadés. Ma Légion d'Honneur et mon Ordre National du Mérite, je les ai gagnés au feu et non rampant dans les couloirs de l'intérieur du boulevard périphérique.
Nombre de mes anciens subordonnés, sous-officiers et soldats, sont restés en contact avec moi ou ont repris contact - merci "fesse de bouc".
Je sens en ta remarque un antimilitarisme tout ce qu'il y a de plus méprisable. Pendant que tu fais "pouêt pouêt" avec ton 1858 massacré, des jeunes gars en bavent des ronds de casque sous le soleil du désert ou dans les neiges d'Afghanistan. Le moindre de ces "piou piou" a des génitoires plus grosses que les tiennes et un sens du devoir que tu ferais bien d'observer. Et les officiers qui partagent leur sort savent Dieu merci comprendre les ordres écrits qu'ils reçoivent sans en modifier le sens.
Pour terminer j'adore Brassens. Et je tire de son œuvre magnifique la certitude qu'il y a bien peu de chances qu'on te détrône un jour.
Dernière édition par Cobravif le Jeu 6 Déc 2018 - 20:17, édité 1 fois
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
dachyb a écrit:C'est affligeant de voir qu'une personne aie un ego tellement démesuré, qu'elle est incapable de reconnaitre une erreur de syntaxe toute banale, et qu'au lieu d'en prendre la mesure, elle se réfugie dans une logorrhée de pseudos ''arguments'' suant de mauvaise foi, jusqu'à l'absurde de l'invention de nouvelles règles grammaticales...
Au final, le seul résultat est de perdre toute crédibilité, y compris dans les domaines techniques, ou elle paraissait alors pourtant pertinente.
On retrouve ici une posture jusqu'au boutiste typiques de militaires incompétents et imbus d'eux mêmes, incapables de reconnaitre leurs limites et leurs erreurs, telle que l'histoire en regorge, et qui conduisent a des échecs aussi à anthologiques que meurtriers...
Je laisse te complaire a charger aveuglément, et sans stratégie dans ce petit Azincourt...le spectacle n'a aucun intérêt, et il y a heureusement d'autres lieux ou l'on peut discuter intelligemment de ce même sujet...
Cette volée de bois vert proférée en accumulant les fautes montre tout simplement que tu as dû sécher pas mal de cours dès l'école primaire.
Je ne suis pas du genre à m'entêter dans l'erreur. Mais encore moins du genre à reconnaître des erreurs qui n'existent pas.
Je trouve amusant que tu découvres de "nouvelles règles grammaticales" qui ont été enseignées au moins jusqu'à ma sortie du lycée en 1971.
L'éducation nationale aurait-elle failli ou bien as-tu séché tant de cours que tu sois incapable de comprendre une phrase simple que même mes petits-fils ont comprise sans erreur (les deux interrogés pour l'analyse logique de ma phrase ont respectivement 10 ans et 8 ans).
Avant de traiter d'incompétents et d'imbus d'eux-mêmes des gens qui ne sont pas d'accord avec toi, souviens toi de l'histoire de la paille et de la poutre.
Ton antimilitarisme crasse prouve le niveau limité de tes facultés de compréhension. Puisqu'on évoque "ici une posture jusqu'au boutiste typiques de militaires incompétents et imbus d'eux mêmes, incapables de reconnaitre leurs limites et leurs erreurs, telle que l'histoire en regorge, et qui conduisent a des échecs aussi à anthologiques que meurtriers..." (j'ai laissé exprès les nombreuses fautes) je rappelle que les généraux sont choisis par le pouvoir politique et que Clemenceau avait déclaré avant l'ouverture du feu que "La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier aux militaires". Donc le choix de mauvais généraux retombe de facto sur les chefs politiques.
La guerre étant la continuation de la politique par d'autres moyens (Talleyrand), et comme il n'y a plus en matière de guerre que quelques milliers de français qui en bavent en Afrique et en Afghanistan pendant que tu joues au cow-boy dans ton club de tir, les politiques CIVILS continuent à brader le pays avec l'assentiment de citoyens trop veules pour réagir.
Pour que tes remarques aient pu avoir quelque influence sur mon opinion à propos de cet accrochage idiot, il aurait fallu que tu t’abstinsses de proférer tes critiques contre les militaires en général, gens que tu ne connais certainement pas et qui sont de loin plus soucieux du devoir et du sacrifice pour le pays que les bricolos se gobergeant à l'arrière. Généralisation abusive qui sent le mauvais esprit et l'aigreur.
Je ne suis pas du genre à m'entêter dans l'erreur. Mais encore moins du genre à reconnaître des erreurs qui n'existent pas.
Je trouve amusant que tu découvres de "nouvelles règles grammaticales" qui ont été enseignées au moins jusqu'à ma sortie du lycée en 1971.
L'éducation nationale aurait-elle failli ou bien as-tu séché tant de cours que tu sois incapable de comprendre une phrase simple que même mes petits-fils ont comprise sans erreur (les deux interrogés pour l'analyse logique de ma phrase ont respectivement 10 ans et 8 ans).
Avant de traiter d'incompétents et d'imbus d'eux-mêmes des gens qui ne sont pas d'accord avec toi, souviens toi de l'histoire de la paille et de la poutre.
Ton antimilitarisme crasse prouve le niveau limité de tes facultés de compréhension. Puisqu'on évoque "ici une posture jusqu'au boutiste typiques de militaires incompétents et imbus d'eux mêmes, incapables de reconnaitre leurs limites et leurs erreurs, telle que l'histoire en regorge, et qui conduisent a des échecs aussi à anthologiques que meurtriers..." (j'ai laissé exprès les nombreuses fautes) je rappelle que les généraux sont choisis par le pouvoir politique et que Clemenceau avait déclaré avant l'ouverture du feu que "La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier aux militaires". Donc le choix de mauvais généraux retombe de facto sur les chefs politiques.
La guerre étant la continuation de la politique par d'autres moyens (Talleyrand), et comme il n'y a plus en matière de guerre que quelques milliers de français qui en bavent en Afrique et en Afghanistan pendant que tu joues au cow-boy dans ton club de tir, les politiques CIVILS continuent à brader le pays avec l'assentiment de citoyens trop veules pour réagir.
Pour que tes remarques aient pu avoir quelque influence sur mon opinion à propos de cet accrochage idiot, il aurait fallu que tu t’abstinsses de proférer tes critiques contre les militaires en général, gens que tu ne connais certainement pas et qui sont de loin plus soucieux du devoir et du sacrifice pour le pays que les bricolos se gobergeant à l'arrière. Généralisation abusive qui sent le mauvais esprit et l'aigreur.
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
et ben dit donc !!!!!!!
bon les gars on se détend un peu, on se prend une petite mousse (pas de caféine, hein?)
"l'air" en ce moment est tendu dans notre beau pays, pas la peine de se chamailler.
bises a tous en cette période de fête!
bon les gars on se détend un peu, on se prend une petite mousse (pas de caféine, hein?)
"l'air" en ce moment est tendu dans notre beau pays, pas la peine de se chamailler.
bises a tous en cette période de fête!
Invité- Invité
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Tu as raison, en ce qui me concerne l'affaire est close. J'espère seulement que les rares explications techniques que ce maelstrom m'aura permis de donner sur les différences entre les revolvers à canon court et à canon long émergeront de l'écume de la tempête. Dans un verre d'eau saumâtre, la tempête.
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Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
poudrenoir77 a écrit:salut, j'aimerai savoir quelle modèle vous me conseiller entre un 1858 , 1860, 1861 et un 1851 snubnose ? le snubnose m'attire le plus par sa petite taille mais le refouloir est à part je connais pas trop
Le choix est fonction de certains critères :
1) le coût : il faut rester dans une certaine sagesse dans ce domaine. Acheter une arme d'occasion peut être une bonne solution si on ne se fait pas "avoir". Pour ce faire, acheter sur un forum dont on est membre peut être une bonne solution.
2) le calibre : Pour un 1851 ou assimilé (reb confédéré Uberti ou équivalent Pietta) on privilégiera le calibre .36. Pour un Remington 1858 on peut sans souci se laisser aller au calibre .44. Ce n'est pas une question de solidité de l'arme mais de conformation aux armes d'époque. Pour le moment les revolvers copies de 1851 en calibre 44 restent en catégorie D mais il se pourrait qu'un jour quelque technocrate se mît en tête de faire remarquer que les 1851 en 44 ne sont pas "historiques" et prétendît les classer en catégorie B. Pour le moment la sagesse a prévalu et ces armes sont bien en catégorie D.
Il faut souligner que le calibre .36 est moins gourmand en plomb et en poudre. Calibre exigeant, il faut toutefois un peu plus de pratique pour le maîtriser que le 44. Ceci dit, une fois maîtrisé il va en cible comme le .44.
3) le but recherché : Pour le tir, les Remington sont très répandus sur les pas de tir à poudre noire parce qu'il est vrai que la prise de visée y est plus facile. En outre, arme à carcasse fermée, le Remington présente une ligne de mire rigide et fixe ce qui contribue à la précision de l'arme. Bien qu'un peu plus cher que bien des revolvers 1851 ou 1860 il est plus facile à maîtriser pour un débutant. Les débuts au tir en sont plus agréables.
Ceci dit, une fois bien maîtrisée la visée d'un revolver à carcasse ouverte on se fait plaisir avec un 1851 ou un 1860.
Si on tient à l'esthétique, les 1860 ont une allure remarquable mais c'est une question de goût. Pour la collection sans tirer, c'est une affaire coup de cœur et là le choix du calibre 36 pour un 1851 devient vraiment un critère à respecter.
Sachant bien sûr, qu'on reste libre de son choix, que les conseilleurs ne sont pas les payeurs, et que personne ne juge les achats des autres.
Enfin, la longueur de canon.
Plus la ligne de mire est longue, mieux on voit ses erreurs de visée et plus facilement on les corrige.
On peut préférer une arme au canon plus court, comme les versions appelées commercialement "Sheriff". Ces armes un peu plus courtes que les modèles "Army" (cal. 44) ou Navy (Cal. 36) sont conçues, construites et éprouvées pour la longueur de canon voulue. Comme le sont les armes plus longues.
Il existe très peu de répliques à canon très court et bourroir de chargement livré à part. Si on tient à une arme vraiment courte c'est vers un tel modèle qu'il faut se tourner et être patient avant de la trouver à vendre.
Il faut à tout prix éviter une arme raccourcie par un amateur, fût-il éclairé, parce qu'on a toutes les chances d'acheter un "arrosoir".
En outre, on se trouverait avec une arme non historique et qui de toute façon n'aurait pas obtenu d'autorisation de vente en l'état et serait donc susceptible d'être déclarée inapte au tir par les gendarmes qui opéreraient un contrôle au stand. Il faudrait alors la faire passer au banc d'épreuve de Saint-Etienne aux frais du propriétaire. Même s'il l'avait achetée déjà modifiée.
Ceci dit, le mieux est d'observer et éventuellement d'essayer plusieurs armes de modèles différents dans un club de tir. Ma réponse à ta question vise simplement à débroussailler un peu l'éventail qui s'offre à toi. Bonne recherche et ne te frappe pas de la tempête qui a agité de sujet. Cela n'en vaut pas la peine.
1) le coût : il faut rester dans une certaine sagesse dans ce domaine. Acheter une arme d'occasion peut être une bonne solution si on ne se fait pas "avoir". Pour ce faire, acheter sur un forum dont on est membre peut être une bonne solution.
2) le calibre : Pour un 1851 ou assimilé (reb confédéré Uberti ou équivalent Pietta) on privilégiera le calibre .36. Pour un Remington 1858 on peut sans souci se laisser aller au calibre .44. Ce n'est pas une question de solidité de l'arme mais de conformation aux armes d'époque. Pour le moment les revolvers copies de 1851 en calibre 44 restent en catégorie D mais il se pourrait qu'un jour quelque technocrate se mît en tête de faire remarquer que les 1851 en 44 ne sont pas "historiques" et prétendît les classer en catégorie B. Pour le moment la sagesse a prévalu et ces armes sont bien en catégorie D.
Il faut souligner que le calibre .36 est moins gourmand en plomb et en poudre. Calibre exigeant, il faut toutefois un peu plus de pratique pour le maîtriser que le 44. Ceci dit, une fois maîtrisé il va en cible comme le .44.
3) le but recherché : Pour le tir, les Remington sont très répandus sur les pas de tir à poudre noire parce qu'il est vrai que la prise de visée y est plus facile. En outre, arme à carcasse fermée, le Remington présente une ligne de mire rigide et fixe ce qui contribue à la précision de l'arme. Bien qu'un peu plus cher que bien des revolvers 1851 ou 1860 il est plus facile à maîtriser pour un débutant. Les débuts au tir en sont plus agréables.
Ceci dit, une fois bien maîtrisée la visée d'un revolver à carcasse ouverte on se fait plaisir avec un 1851 ou un 1860.
Si on tient à l'esthétique, les 1860 ont une allure remarquable mais c'est une question de goût. Pour la collection sans tirer, c'est une affaire coup de cœur et là le choix du calibre 36 pour un 1851 devient vraiment un critère à respecter.
Sachant bien sûr, qu'on reste libre de son choix, que les conseilleurs ne sont pas les payeurs, et que personne ne juge les achats des autres.
Enfin, la longueur de canon.
Plus la ligne de mire est longue, mieux on voit ses erreurs de visée et plus facilement on les corrige.
On peut préférer une arme au canon plus court, comme les versions appelées commercialement "Sheriff". Ces armes un peu plus courtes que les modèles "Army" (cal. 44) ou Navy (Cal. 36) sont conçues, construites et éprouvées pour la longueur de canon voulue. Comme le sont les armes plus longues.
Il existe très peu de répliques à canon très court et bourroir de chargement livré à part. Si on tient à une arme vraiment courte c'est vers un tel modèle qu'il faut se tourner et être patient avant de la trouver à vendre.
Il faut à tout prix éviter une arme raccourcie par un amateur, fût-il éclairé, parce qu'on a toutes les chances d'acheter un "arrosoir".
En outre, on se trouverait avec une arme non historique et qui de toute façon n'aurait pas obtenu d'autorisation de vente en l'état et serait donc susceptible d'être déclarée inapte au tir par les gendarmes qui opéreraient un contrôle au stand. Il faudrait alors la faire passer au banc d'épreuve de Saint-Etienne aux frais du propriétaire. Même s'il l'avait achetée déjà modifiée.
Ceci dit, le mieux est d'observer et éventuellement d'essayer plusieurs armes de modèles différents dans un club de tir. Ma réponse à ta question vise simplement à débroussailler un peu l'éventail qui s'offre à toi. Bonne recherche et ne te frappe pas de la tempête qui a agité de sujet. Cela n'en vaut pas la peine.
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Cobravif a écrit:Tu as raison, en ce qui me concerne l'affaire est close. J'espère seulement que les rares explications techniques que ce maelstrom m'aura permis de donner sur les différences entre les revolvers à canon court et à canon long émergeront de l'écume de la tempête. Dans un verre d'eau saumâtre, la tempête.
Ok sujet clos, juste une précision du pourquoi du comment
Wouaou, j'ai piquer la ou ça fait mal
Je ne suis pas antimilitariste, j'ai juste une aversion pour une personne qui braie à tue tête tout ses hauts faits ..... militaire, bref les "Rambo" de bac à sable. Ceci pour dire, c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale ...... Ta Légion d'Honneur doit être la même que celle que François Hollande, a remis à Mohammed Ben Nayef, le prince héritier de l'Arabie Saoudite. Contrairement à un monsieur dont son cercueil était entièrement recouvert du drapeau français et sur une plaquette de velours, tout un attirail de médailles de toutes couleurs et formes (digne d'un poitrail de général russe LOL). Médailles remise du temps du Général de Gaulle. (A cette époque les bédouins mahométans et autres Johnny Hallyday n'était pas "décoré" par la France), mais je n'en savais rien..... Ce Monsieur tellement "discret" sur ces Haut Faits de guerre était mon père.
Et je me contrefous que ces "jeunes gars" font joujou au fin fond de lointaine contrées, ils sont payés pour cela, c'est leur métier, de plus leurs "génitoires" .... tu connais le terme "lobotomisé". Par ailleurs tu n'a aucune idée de ce que les "miennes" ont fait ..... .
Là c'est vraiment clos
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Re: revolver canon court ou long ? quelles différences ?
Ce qu'elles ont fait, les tiennes, de génitoires ? Réagir à tes auto-empoignades féroces.
Je n'ai pas pour habitude de "braire à tue tête tout mes hauts faits" et je ne suis pas un Rambo de caisse à sable. Je pense que ceux qui liront nos échanges découvriront une tranche de mon passé que je n'avais jamais évoquée sur les fora.
Ma L H s’accompagne d'une croix de guerre et n'a rien à voir avec les breloques du même nom distribuées par les Présidents aux étrangers. Si tu avais un peu de culture dans ce domaine tu aurais évité de proférer une ânerie de plus.
Mais Brassens avait vraiment raison.
Je n'ai pas pour habitude de "braire à tue tête tout mes hauts faits" et je ne suis pas un Rambo de caisse à sable. Je pense que ceux qui liront nos échanges découvriront une tranche de mon passé que je n'avais jamais évoquée sur les fora.
Ma L H s’accompagne d'une croix de guerre et n'a rien à voir avec les breloques du même nom distribuées par les Présidents aux étrangers. Si tu avais un peu de culture dans ce domaine tu aurais évité de proférer une ânerie de plus.
Mais Brassens avait vraiment raison.
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Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
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