La graisse et le tir
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Re : la graisse et le tir
Belle digression, en marge de la graisse, les copains ! Nous sommes entre gens de bonne compagnie,
Français qui aimons les bonnes choses bien de chez nous (et d'ailleurs), même assaisonnées à la P.N.
en guise de poudre de perlin-pimpin...
Cobravif et ses proches ainsi que Dan et les siens ont bien des talents (pas vraiment) cachés !
Français qui aimons les bonnes choses bien de chez nous (et d'ailleurs), même assaisonnées à la P.N.
en guise de poudre de perlin-pimpin...
Cobravif et ses proches ainsi que Dan et les siens ont bien des talents (pas vraiment) cachés !
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: La graisse et le tir
Dan Wesson a écrit:Cobravif, j'arrive ! Planques tout sinon je rempli le coffre de ma voiture !
Merci pour ma fille, elle a le talent de sa mère, de ma femme en l'occurrence. Elles sont merveilleuses, et ça va faire quarante ans dans un mois que ça dure ! (en ce qui concerne ma vie avec ma femme œuf corse).
DW.
1° Cela veut dire que tu as un grand coffre de voiture,
2° Pour jouer les cure-toupines*, il faudra d'abord réduire la résistance familiale de ma femme et dans ces cas-là elle n'est plus ma moitié mais au moins mon double - et ma fille, une vicomtesse à la tête d'une phalange de quatre gourmands (dont l'un ne va pas tarder à commencer à marcher mais qui en quadupédisant vide en quelques minutes la boîte de Lego) phalange commandée par mon gendre, un redoutable gourmand lui aussi. Et que des chevaliers qui montent à l'assaut du château de Mauvezin armés d'épées en bois fabriquées dans mon atelier et de heaumes en carton ondulé réalisés par leur papa. C'est tout dire.
3° Mon épouse et moi sommes mariés depuis 38 ans. 76 ans pour moi puisque, dans l'armée, les années de campagne comptent double.
2° Pour jouer les cure-toupines*, il faudra d'abord réduire la résistance familiale de ma femme et dans ces cas-là elle n'est plus ma moitié mais au moins mon double - et ma fille, une vicomtesse à la tête d'une phalange de quatre gourmands (dont l'un ne va pas tarder à commencer à marcher mais qui en quadupédisant vide en quelques minutes la boîte de Lego) phalange commandée par mon gendre, un redoutable gourmand lui aussi. Et que des chevaliers qui montent à l'assaut du château de Mauvezin armés d'épées en bois fabriquées dans mon atelier et de heaumes en carton ondulé réalisés par leur papa. C'est tout dire.
3° Mon épouse et moi sommes mariés depuis 38 ans. 76 ans pour moi puisque, dans l'armée, les années de campagne comptent double.
* Cure-toupines : surnom donné aux prétendus résistants de Dordogne qui faisaient du camping sauvage dans les bois en pillant les champignons et, une fois livrés quelques Stens par parachutages, venaient dans les villages pour voler les conserves des familles.
A l'époque, les conserves se faisaient dans des pots en grès verni occultés par la couche de graisse de canard ou de porc, suivant les cas et l'opercule de bois ciré. Ces pots de grès ou de faïence se nommaient des toupines.
Les "cure-toupines" piquaient plus de bouffe que les troupes d'occupation et ne se montraient jamais quand les "doryphores" -surnoms donnés aux allemands qui volaient les pomme de terre- quand les doryphores, donc, se hasardaient en patrouille loin de Périgueux.
Les vrais résistants de Dordogne, n'étaient pas dans les bois mais dans les équipes de cantonniers des ponts et chaussées, à la poudrerie de Bergerac, dans les équipes diverses du dépôt SNCF du Buisson, ce dépôt central des 141 TA des lignes entre Bordeaux et Sarlat ou entre Périgueux et Agen. Ceux-là, oui ont agi. Et certains ont été pris.
Mais les "cure-toupines" ont gardé leur mauvaise réputation. On les connaissait mais il disparaissent peu à peu comme d'ailleurs les vrais résistants. La tante de ma femme vit ses dernières années et a 103 ans, son frère mon beau-père est mort le 26 septembre etc.
A l'époque, les conserves se faisaient dans des pots en grès verni occultés par la couche de graisse de canard ou de porc, suivant les cas et l'opercule de bois ciré. Ces pots de grès ou de faïence se nommaient des toupines.
Les "cure-toupines" piquaient plus de bouffe que les troupes d'occupation et ne se montraient jamais quand les "doryphores" -surnoms donnés aux allemands qui volaient les pomme de terre- quand les doryphores, donc, se hasardaient en patrouille loin de Périgueux.
Les vrais résistants de Dordogne, n'étaient pas dans les bois mais dans les équipes de cantonniers des ponts et chaussées, à la poudrerie de Bergerac, dans les équipes diverses du dépôt SNCF du Buisson, ce dépôt central des 141 TA des lignes entre Bordeaux et Sarlat ou entre Périgueux et Agen. Ceux-là, oui ont agi. Et certains ont été pris.
Mais les "cure-toupines" ont gardé leur mauvaise réputation. On les connaissait mais il disparaissent peu à peu comme d'ailleurs les vrais résistants. La tante de ma femme vit ses dernières années et a 103 ans, son frère mon beau-père est mort le 26 septembre etc.
Re: La graisse et le tir
Bien. Je ne viendrais donc pas en tant que cure-toupine avec ma grande voiture mais avec le coupé de mon épouse, et ce dans le seul but de vous saluer. Merci pour cette leçon d'histoire. (Si toutefois il reste un peu de manchon, nous en goûterions volontiers).
DW.
DW.
Dan Wesson- Messages : 1944
Date d'inscription : 06/04/2012
Age : 74
Localisation : Derrière la Roche de Solutré
Re: La graisse et le tir
Vous serez reçus à bras - et table - ouverts. Surtout des voyageurs qui viennent d'une région chère à mon cœur, la Bourgogne.
Re: La graisse et le tir
Cobravif a écrit:Surtout des voyageurs qui viennent d'une région chère à mon cœur, la Bourgogne.
C'est pas ton cœur, c'est ton gosier. Faut appeler un chat, un chat
Duncan OXBURRY- Messages : 1346
Date d'inscription : 13/05/2011
Age : 82
Localisation : Ile de France -Val de Marne
Re: La graisse et le tir
Mon gosier, oui, et mon foie aussi, qui ne connaît pas Vichy Saint-Yorre.
Non, sans charre. J'ai habité Montceau-les-Mines en revenant des Antilles, j'ai été en Prépa à Autun où je tirais en me fournissant chez James, Rue aux Cordiers. D'accord, c'est le Morvan et pas vraiment la Bourgogne mais c'est tout près et je l'ai bien parcourue au hasard des compétitions de judo et des stages d'aïkido.
J'adore Dijon mais aussi Beaune, Auxerre, Semur-en-Auxois, Is-sur-Tille, etc. Un peu moins Langres. Trop froid. Je ne parle pas des incursions dans la région de Chablis.
Mon gendre est à moitié breton par son père, à moitié Bourguignon par sa mère qui possède des vignes près de Beaune. Donc, si mon gosier et mon foie ont une opinion importante, ce qui me reste de cœur après des années de guerres pourries s'attendrit au son du mot Bourgogne.
Non, sans charre. J'ai habité Montceau-les-Mines en revenant des Antilles, j'ai été en Prépa à Autun où je tirais en me fournissant chez James, Rue aux Cordiers. D'accord, c'est le Morvan et pas vraiment la Bourgogne mais c'est tout près et je l'ai bien parcourue au hasard des compétitions de judo et des stages d'aïkido.
J'adore Dijon mais aussi Beaune, Auxerre, Semur-en-Auxois, Is-sur-Tille, etc. Un peu moins Langres. Trop froid. Je ne parle pas des incursions dans la région de Chablis.
Mon gendre est à moitié breton par son père, à moitié Bourguignon par sa mère qui possède des vignes près de Beaune. Donc, si mon gosier et mon foie ont une opinion importante, ce qui me reste de cœur après des années de guerres pourries s'attendrit au son du mot Bourgogne.
Dernière édition par Cobravif le Dim 14 Oct 2018 - 6:03, édité 1 fois
Re: La graisse et le tir
Fortyniner a écrit:Belle digression, en marge de la graisse, les copains ! Nous sommes entre gens de bonne compagnie,
Français qui aimons les bonnes choses bien de chez nous (et d'ailleurs), même assaisonnées à la P.N.
en guise de poudre de perlin-pimpin...
Cobravif et ses proches ainsi que Dan et les siens ont bien des talents (pas vraiment) cachés !
C'est gentil. Mais mon vrai nom est bien normand. Quoique l'histoire familiale ait fait que depuis au moins cinq générations nous sommes installés dans le sud de la France en base arrière de nos aventures coloniales. Icelles ont d'ailleurs commencé à la fin de l'ancien régime et continué avec le second Empire colonial. Mais nous avons un faible pour la Normandie et ses productions gastronomiques remarquables. Enfant, en vacances chez mon oncle et ma tante pas très loin de Cabourg -ils avaient un appartement à Cabourg et une ferme mise en fermage qui leur servait de résidence secondaire - nous étions à table. On nous a servi pour boire, du cidre qui venait de finir de travailler. Le bouilleur était passé pour en distiller une partie et on venait de mettre l'alcool en fûts. On venait aussi de tirer du calva en qui était prêt pour la consommation après quelques années de vieillissement. Le flacon de grès était sur la desserte, attendant sagement que les grands prennent le café. Ma tante me sert en premier et me demande de goûter le cidre frais. J'ai trouvé ça un peu fort mais j'ai aimé. Alors ma tante a servi ma cousine, une grande qui "faisait" ses études de médecine. Elle s'est étranglée : la cruche de cidre était remplie au calva. A six ans, je m'étais enfilé d'un trait un plein verre de calva sans hurler à la mort. Mon cousin qui avait quatre ans de plus que moi a conclu qu'il me restait encore pas mal de sang normand...
Re : la graisse et le tir
@ Cobravif : tes pérégrinations sont innombrables, mon cher ! Moi, né dans le Nord, à Denain, d'un père
né Picard à Outrebois, pas loin de Doullens, je suis passé par la Bourgogne, à Auxerre-Monéteau en
entrant à l'E.E.S.G.A.A. de l'Armée de l'Air en jenvier 19676 pour 13 mois, puis je suis arrivé en stage
de spé à Caen-Carpiquet en février-mars 68, pour atterrir à Strasbourg-Entzheim, B.A. 124 où j'ai
fini mes 5 ans de contrat et découvert la superbe Alsace que je regrette souvent, l'ayant quittée
en 1982 pour m'installer en Normandie, à 60 km à l'ouest de Caen (moi qui disais en 1968 que je
ne reviendrais pas dans ce coin pluvieux, j'ai épousé une Normande de Saint Lô par correspondance !) ;
pour ce qui est du cidre et du calva, je connais assez bien et j'en ai du très bon et très vieux...
né Picard à Outrebois, pas loin de Doullens, je suis passé par la Bourgogne, à Auxerre-Monéteau en
entrant à l'E.E.S.G.A.A. de l'Armée de l'Air en jenvier 19676 pour 13 mois, puis je suis arrivé en stage
de spé à Caen-Carpiquet en février-mars 68, pour atterrir à Strasbourg-Entzheim, B.A. 124 où j'ai
fini mes 5 ans de contrat et découvert la superbe Alsace que je regrette souvent, l'ayant quittée
en 1982 pour m'installer en Normandie, à 60 km à l'ouest de Caen (moi qui disais en 1968 que je
ne reviendrais pas dans ce coin pluvieux, j'ai épousé une Normande de Saint Lô par correspondance !) ;
pour ce qui est du cidre et du calva, je connais assez bien et j'en ai du très bon et très vieux...
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: La graisse et le tir
En allant chez mon armurier pour me fournir en poudre, je lui ai posé la question.
Il m'a conseillé la cire d'abeille avec suif et ... une pâte orange : Lyman Orange Magic, conseillée pour éviter l'encrassement des armes.
N'ayant pas trouvé de suif dans le coin et encore moins de pain de cire d'abeille, je me suis contenté de finir mon énorme pot de graisse pour selles achetée à Décathlon qui est à base de cire, paraffine et huile (c'est ce qu'ils disent) et de mélanger le tout dans mon creuset.
Je fais fondre un petit peu de pâte orange, puis la graisse et je prends une vieille boîte de cirage, dispose mes 50 balles dedans et fais couler le mélange liquide.
Je mets au frigo pour durcir un peu le tout et zou, dans la mallette.
La pâte apparait comme plus solide. Après une séance de tir de 40 balles et un léger coup d'écouvillon souple entre deux barillets, le canon est presque pas encrassé. La précision jusqu'à la dernière balle était assez correcte.
Pas besoin de graisser par dessus vu que les balles le sont déjà.
Alors vous savez quoi ? Je vais continuer avec mon pot de graisse à selles et "l'agent orange" puisque ça marche très bien.
Il m'a conseillé la cire d'abeille avec suif et ... une pâte orange : Lyman Orange Magic, conseillée pour éviter l'encrassement des armes.
N'ayant pas trouvé de suif dans le coin et encore moins de pain de cire d'abeille, je me suis contenté de finir mon énorme pot de graisse pour selles achetée à Décathlon qui est à base de cire, paraffine et huile (c'est ce qu'ils disent) et de mélanger le tout dans mon creuset.
Je fais fondre un petit peu de pâte orange, puis la graisse et je prends une vieille boîte de cirage, dispose mes 50 balles dedans et fais couler le mélange liquide.
Je mets au frigo pour durcir un peu le tout et zou, dans la mallette.
La pâte apparait comme plus solide. Après une séance de tir de 40 balles et un léger coup d'écouvillon souple entre deux barillets, le canon est presque pas encrassé. La précision jusqu'à la dernière balle était assez correcte.
Pas besoin de graisser par dessus vu que les balles le sont déjà.
Alors vous savez quoi ? Je vais continuer avec mon pot de graisse à selles et "l'agent orange" puisque ça marche très bien.
Re: La graisse et le tir
Ça fait un peu Vietnam, mais si ça marche bien, voilà une bonne info !Graphist a écrit: Lyman Orange Magic, conseillée pour éviter l'encrassement des armes.
Je vais continuer avec mon pot de graisse à selles et "l'agent orange" puisque ça marche très bien.
Duncan OXBURRY- Messages : 1346
Date d'inscription : 13/05/2011
Age : 82
Localisation : Ile de France -Val de Marne
Re: La graisse et le tir
Duncan OXBURRY a écrit:Ça fait un peu Vietnam, mais si ça marche bien, voilà une bonne info !Graphist a écrit: Lyman Orange Magic, conseillée pour éviter l'encrassement des armes.
Je vais continuer avec mon pot de graisse à selles et "l'agent orange" puisque ça marche très bien.
oui c'est ce que je me suis dit aussi !
Re: La graisse et le tir
bonjour Graphist en tant qu'administrateur j'ai un peu loupé mon rôle de modération , tu as lancé un sujet serieux et un dérapage s'est installé il ya quelque jours , j'aurai du intervenir mais j'étais ailleurs , je vois à ton dernier message que cela n'a pas entamé ta bonne humeur , je suis donc rassuré , et c'est vrai que nous avons assisté a une envollée lyrique entre gens de bonne compagnie , mais faudrait pas que çà se généralise donc je tiens à mexcuser , car j'ai pris plaisir à lire tout ces commentaires d'un autre genre
Reprenons le court du sujet .
Merci
TEX TONE
Reprenons le court du sujet .
Merci
TEX TONE
_________________
L'herbe est toujours plus verte de l'autre coté de la clôture
http://www.armes-ufa.com/
Re: La graisse et le tir
Nous aussi, on s'est bien amusé avec un sujet qui aurait pu être glissant, mais qui est resté dans la tradition des poudreux, gaulois et bienveillant.
Il pourrait-être aussi dans le Saloon, mais qu'importe, par des chemins détournés, on connait enfin le "Lyman Orange Magic" conseillée pour éviter l'encrassement des armes.
Elle est pas belle la vie ?
PS Et faire cinq pages sur le sujet, ce n'était pas gagné !
Il pourrait-être aussi dans le Saloon, mais qu'importe, par des chemins détournés, on connait enfin le "Lyman Orange Magic" conseillée pour éviter l'encrassement des armes.
Elle est pas belle la vie ?
PS Et faire cinq pages sur le sujet, ce n'était pas gagné !
Duncan OXBURRY- Messages : 1346
Date d'inscription : 13/05/2011
Age : 82
Localisation : Ile de France -Val de Marne
Re: La graisse et le tir
Un post comme on les aime, on apprend beaucoup et on se détend... je participe peu mais je suis toujours la et j'apprécie !
biker13- Messages : 626
Date d'inscription : 10/06/2013
Age : 60
Localisation : Lançon de Provence
Re: La graisse et le tir
Donc si je résume, couscous utile lorsque les balles sont graissées.
Mais ce que je comprends pas, tu dis graisser tes balles dans un sac de peau. Donc tu mets bien une bourre ?
Mais ce que je comprends pas, tu dis graisser tes balles dans un sac de peau. Donc tu mets bien une bourre ?
Re: La graisse et le tir
En ce qui me concerne, la semoule seulement dans le couscous, dans le taboulet à la tunisienne ou, comme boulgour, dans le taboulet à l'orientale (Syrie, Liban, Jordanie, Iraq, bref des pays civilisés. Non je ne plaisante pas je suis sérieux). Mais jamais dans un revolver. Si les balles sont graissées par le gras de la poche de cuir, alors elles sont enduites de graisse qui a durci un peu, qui ne salit pas les doigts et qui ne trouble pas la poudre noire au moment du chargement. Donc la bourre de feutre n'est pas indispensable. Je parle de munitions non encartouchées.
La semoule, je le répète, c'est la fatma qui gère. C'est de sa compétence et de sa responsabilité.
La semoule, je le répète, c'est la fatma qui gère. C'est de sa compétence et de sa responsabilité.
_________________
Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: La graisse et le tir
Bonjour a tous,
certaines personnes de ce forum ont un savoir et le partage avec plaisir !
Merci a eux tous simplement.
certaines personnes de ce forum ont un savoir et le partage avec plaisir !
Merci a eux tous simplement.
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