Quelques cuirs.
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Quelques cuirs.
Voici deux équipements de port d'arme de poing qui font partie de ceux que je préfère. Ils permettent de porter des armes de légères à très lourdes en gardant sa liberté de mouvement pour "forester" à la tronçonneuse ou au vélomoteur à sorcière (débroussailleuse).
Le premier équipement est fabriqué autour d'un revolver en 22 inspiré du SAA 1873. Ici, il est porté en poitrine et non en aisselle.Le second est fabriqué autour du LeMat "Navy" de Pietta. Le voici pris de face avec le réglage position haute.
Parce que ce porte-arme permet un réglage de la hauteur sous aisselle et le réglage des prises de bretelle pour adapter le port à la marche à pied ou le port à cheval ou à moto.
Ci-dessous, vue de l’extérieur qui le montre en réglage position haute. Notez un peu en bas du pontet, un passage de sangle pour le port en cavalier ou en motard.
Ci-dessous, vue de l’extérieur qui le montre en réglage position haute. Notez un peu en bas du pontet, un passage de sangle pour le port en cavalier ou en motard.
Vue de l'intérieur (côté au contact du corps) qui montre le dispositif de réglage en hauteur pour une position basse.
Ici, une vue du réglage en position haute.
Détail du triangle de dos.
Détail de la prise de bretelle de rappel sur le ceinturon.
Détail de la prise d'étui de port sur le ceinturon, de l'autre côté de ma boucle par rapport à la prise de bretelle de rappel.
Schéma général de l'équipement.
Ce dispositif a été pensé pour me permettre de porter mon LeMat lorsque je travaille dans mes bois. Le canon central chargé à plomb de huit me permettrait en cas de risque de me débarrasser d'un aspic surpris et donc agressif. Les aspics de chez moi sont assez gros - autour de 25 cm - et l'un d'entre eux a causé la mort d'un des chiens de mon voisin paysan. Si je tombe sur un de ces aspics avec la débroussailleuse, pas de souci; mais si c'est avec la tronçonneuse, je préfère reculer, poser l'outil et ( modérateur ) régler son compte au serpent. revenir avec la débroussailleuse !!
car les vipères sont des espèces protégées ....Sauf quand elles deviennent des menaces. Aucun modérateur ne m'accompagne quand je fais mon forestage dans mes bois.
Dernière édition par Cobravif le Sam 3 Juin 2017 - 4:01, édité 1 fois (Raison : Ajout de texte.)
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re : Quelques cuirs
Cobra : Jolis holsters !
Personnellement, je n'en ai que deux : un réglementaire (copie) de l'armée U.S. de la Civil War,
en cuir noir avec ceinturon "ad hoc" et giberne ; le deuxième est du même genre mais C.S.
en cuir fauve avec ceinturon "ad hoc" et giberne...
Personnellement, je n'en ai que deux : un réglementaire (copie) de l'armée U.S. de la Civil War,
en cuir noir avec ceinturon "ad hoc" et giberne ; le deuxième est du même genre mais C.S.
en cuir fauve avec ceinturon "ad hoc" et giberne...
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Quelques cuirs.
Ils sont chouettes vos holsters.
J'ai regardé sur le net les photos d'époque. On dirait que :
* A l'époque le port à la ceinture était la grande généralité. Je n'ai pas trouvé de photos de holsters d'épaule
* Un ceinturon / holster devait couter cher. On a beaucoup de photos avec des gens qui portent simplement leur révolver "enfoncé" sous leur pantalon comme ci-dessous (Kansas).
J'ai regardé sur le net les photos d'époque. On dirait que :
* A l'époque le port à la ceinture était la grande généralité. Je n'ai pas trouvé de photos de holsters d'épaule
* Un ceinturon / holster devait couter cher. On a beaucoup de photos avec des gens qui portent simplement leur révolver "enfoncé" sous leur pantalon comme ci-dessous (Kansas).
tortukitu- Messages : 266
Date d'inscription : 05/09/2014
Age : 38
Localisation : IDF
Re: Quelques cuirs.
tortukitu a écrit:Ils sont chouettes vos holsters.
J'ai regardé sur le net les photos d'époque. On dirait que :
* A l'époque le port à la ceinture était la grande généralité. Je n'ai pas trouvé de photos de holsters d'épaule
* Un ceinturon / holster devait couter cher. On a beaucoup de photos avec des gens qui portent simplement leur révolver "enfoncé" sous leur pantalon comme ci-dessous (Kansas).
Si l’industrie du cinéma nous montre volontiers des cow-boys viriles à l’image de Clint Eastwood, la réalité n’était pas la même. À partir de 1850, les cow-boys étaient en fait des vachers. Ce sont eux qui étaient en charge de la gestion des troupeaux dans les ranches. Le travail était plutôt mal payé pour une pénibilité au maximum. Pourtant, il fallait bien se nourrir.
Mais les westerns que l’on connait n’ont pas tout faux. L’équipement que les cow-boys portaient en réalité est proche de ceux de Clint. Une exception faite : ils n’avaient pas tous trois cartouchières autour du corps.
Le cuir pour la durée
Entre le coton et le cuir, le choix était vite fait. Le cow-boy avait besoin d’un équipement qui dure dans le temps malgré les contraintes (poussière, frottements, coups, chutes). Voilà pourquoi le cuir était un bon client. Il se portait facilement grâce à sa souplesse et pouvait être trainé sur des kilomètres sans se dégrader. La peau formait alors une merveilleuse protection et un parfait support pour les zones les plus sollicitées.
Ce choix était également économique. En effet, les vachers gagnaient environ 30$ par mois (d’après le site Westernmovies). Même si le dollar n’avait pas la même valeur qu’aujourd’hui, il fallait pouvoir manger, dormir et surtout s’équiper. Avec un tel salaire, les cow-boys ne pouvaient pas se permettre de changer leur équipement tous les mois.
L’équipement en cuir du cow-boy
L’état de santé du cow-boy dépendait essentiellement de son équipement. Voilà pourquoi il ne lésinait pas sur les achats et n’hésitez pas à s’offrir les plus belles pièces de cuir. On distingue donc :
Les chaps : ce sont des jambières en cuir que les vachers appréciaient pour leur côté pratique. Certaines avaient des poches et étaient un rangement supplémentaire.
Le gilet : la plupart des gilets que portaient les cow-boys étaient en cuir. En plus d’être isolants, ils étaient résistants et plutôt esthétiques.
La ceinture : la ceinture faisait également office de cartouchière. Elle était en cuir marron ou noir et servait de support au holster.
Le holster : c’est l’étui du revolver que portait une grande majorité des cow-boys. À l’époque, il était préférable de pouvoir se défendre contre la faune sauvage plutôt que des bandits (même s’il y en avait).
Les bottes : ces chaussures en cuir étaient accompagnées des éperons pour la conduite du cheval. Souvenez-vous du bruit mythique des éperons du cow-boy lorsqu’il entre dans un saloon.
La selle : il s’agissait de l’élément le plus important de l’équipement. Le cow-boy était assis toute la journée sur cette lourde selle en cuir, il fallait qu’elle tienne le coup dans le temps.
Snub 36- Messages : 568
Date d'inscription : 24/02/2016
Un étui pour mon Reb Confédéré de chez Uberti.
Rentré de Guadeloupe en métropole en 1969, j'avais rapporté de notre île une copie sudiste d'époque d'un Colt 1851, mais à canon rond. J'avais déjà pas mal tiré avec en Guadeloupe et j'ai continué en métropole dans notre maison de l'Ariège. Mais je fais très attention à cette arme vénérable et je ne l'ai plus jamais risquée aux intempéries depuis mon arrivée en métropole. Un jour où je passais devant une armurerie à Nîmes, j'ai eu la joie d'y découvrir un revolver, réplique du mien, fabriqué en Italie par la maison Uberti et qui se vendait sous le nom de "Reb Confédéré".
J'y ai investi presqu'un mois de mon salaire d'ouvrier agricole en job d'été. 314 Francs, à l'époque. J'ai aussi acheté un moule à balles parce que celui qui va avec mon "d'époque en calibre .36" donne des balles trop grosses pour ce .36 Uberti. Et j'ai pris l'habitude de trimballer mon nouveau revolver partout.
Au début je m'étais fabriqué un équipement, ceinturon et étui, en cuir de vache assez souple qui m'allait très bien lorsque j'allais aux champignons dans les forêts de Haute Ariège. Et puis cet ensemble a vieilli et je l'ai remplacé par un étui à porter haut que j'ai taillé dans le cuir de la sacoche qui protégeait la dérouleuse de câble téléphonique des pièces d'artillerie 105 Au 50. Il y avait eu une réforme massive de ces équipements et j'en avais récupéré deux neufs. Avec lesquels j'ai fabriqué divers objets en cuir dont celui que le vous présente aujourd'hui.
Pour commencer, voici mon Uberti dans son étui.
Cet étui est taillé dans ce cuir militaire épais et non teint qui a hélas disparu.
J'ai commencé par faire tremper mon cuir dans une cuvette d'eau assez chaude, environ 40° C. Ensuite, ayant dessiné un patron du fourreau à fabriquer, je l'ai taillé à plat, puis j'ai enveloppé mon arme dans une poche en plastique solide. Ceci fait, j'ai repris mon cuir mouillé à cœur et je l'ai appliqué sur mon arme enveloppée et à l'abri de l'eau. J'ai fait tenir le tout avec des pinces à linge. J'avais eu soin de tailler le cuir plus large que nécessaire. J'ai mis le tout à sécher sur un radiateur de chauffage central. Quand tout fut sec, j'ai sorti mon arme toujours enveloppée dans sa poche étanche et j'ai coupé le cuir à sa taille définitive. J'ai obtenu un fourreau sec et en forme, rigide mais non cassant. J'ai taillé des pièces de cuir complémentaires : une bande pour tripler le cuir là où force le barillet et une là où s'appuie le pontet et enfin la pièce en cuir qui allait servir de passant pour le ceinturon.
Après avoir perforé les diverses pièces à l'alène j'ai commencé à coudre.
Le rabat qui sert de passant pour le ceinturon est d'une seule pièce pliée et rapportée sur le haut du corps du fourreau pour que la face lisse du cuir soit apparente tandis que la face pelucheuse reste au contact du ceinturon. Mais il fallait que les coutures fussent à l'abri du contact avec l'arme.
Toutes les coutures risquant d'être usées par le métal sont en fait enfoncées dans le cuir par une saignée que j'ai taillée au tranchet (mot français du vocabulaire des bourreliers et qui me plaît davantage que l’anglais "cul-terre") saignée où le cuir est à l'abri du contact direct avec le métal. Restait ensuite à concevoir l'attache du bord du rabat non cousu au fourreau. Le lacet de cuir me semblant une bonne solution, j'en ai utilisé un que j'ai tressé sur la partie visible de l'équipement et donc je me suis servi pour solidariser le retour de rabat avec le corps de l'étui. Il m'a suffi de percer deux trous œilletonnés de laiton par où faire passer le lacet. Récupéré sur de vieux mocassins, ces chaussures qu'on surnomme des "bateaux" ou, si on est encore plus snob, des "yotingue".
Cette vue présente la face de l'étui qui est au contact du corps du tireur et la façon dont le rabat-passant de ceinturon est fixé au fourreau.
Cette vue montre en gros plan le tressage du lacet, dont le rôle est ornemental et permet de disposer d'une réserve de lacet au cas pour celui qui relie les œillets du rabat-passant venaient à se casser. Depuis 1983, dater à laquelle j'ai fabriqué cet étui à revolver, rien n'a bougé et pourtant c'est dans cet accessoire que j'ai trimballé mon arme que ce soit dans les bois ou dans mes bateaux. Voilier en mer ou canoé en bois sur la rivière avec camping sauvage sur les îles de la Dordogne.
La vue ci-dessous présente la tranche arrière du fourreau et on distingue que le haut de la tranche arrière comporte une surépaisseur de cuir prise entre les deux faces du fourreau. Notez les coutures renforcées pour supporter les efforts que fournit le fourreau lorsqu'on court ou lorsqu'on monte à cheval. Il faut noter que même si le fourreau serre le revolver, le risque existe que l'arme en sorte accidentellement. Il faut noter l'anneau de calotte où je fixe la dragonne de sécurité. C'est la même qui me sert pour le LeMat.
Cette autre vue de la couture arrière montre l'endroit où s'arrête la bande de surépaisseur prise dans le couture du fourreau.
La photo ci-dessous montre l'ouverture du fond de fourreau. Le canon reste à l'intérieur et est dans une certaine mesure protégé des coups éventuels par le cuir épais.
Vu de haut, le revolver dans le fourreau, l'entrée du fourreau renforcée des bandes de cuirs rapportées serre l'arme en place.
Cette autre vue montre l'avant du pontet appuyé sur le cuir en triple épaisseur du haut de la couture du fourreau. Notez le fil de lin poissé et teint en noir qui résiste depuis plus de trente ans.
Cet équipement ne vise pas à l'élégance mais bien au côté pratique. Cela fait une arme portée haut au ceinturon, qui ne gène pas les mouvements. Avec le LeMat, on a vu que j'ai adopté un autre dispositif. L'arme est à mon goût trop encombrante pour être portée au ceinturon.
J'y ai investi presqu'un mois de mon salaire d'ouvrier agricole en job d'été. 314 Francs, à l'époque. J'ai aussi acheté un moule à balles parce que celui qui va avec mon "d'époque en calibre .36" donne des balles trop grosses pour ce .36 Uberti. Et j'ai pris l'habitude de trimballer mon nouveau revolver partout.
Au début je m'étais fabriqué un équipement, ceinturon et étui, en cuir de vache assez souple qui m'allait très bien lorsque j'allais aux champignons dans les forêts de Haute Ariège. Et puis cet ensemble a vieilli et je l'ai remplacé par un étui à porter haut que j'ai taillé dans le cuir de la sacoche qui protégeait la dérouleuse de câble téléphonique des pièces d'artillerie 105 Au 50. Il y avait eu une réforme massive de ces équipements et j'en avais récupéré deux neufs. Avec lesquels j'ai fabriqué divers objets en cuir dont celui que le vous présente aujourd'hui.
Pour commencer, voici mon Uberti dans son étui.
Cet étui est taillé dans ce cuir militaire épais et non teint qui a hélas disparu.
J'ai commencé par faire tremper mon cuir dans une cuvette d'eau assez chaude, environ 40° C. Ensuite, ayant dessiné un patron du fourreau à fabriquer, je l'ai taillé à plat, puis j'ai enveloppé mon arme dans une poche en plastique solide. Ceci fait, j'ai repris mon cuir mouillé à cœur et je l'ai appliqué sur mon arme enveloppée et à l'abri de l'eau. J'ai fait tenir le tout avec des pinces à linge. J'avais eu soin de tailler le cuir plus large que nécessaire. J'ai mis le tout à sécher sur un radiateur de chauffage central. Quand tout fut sec, j'ai sorti mon arme toujours enveloppée dans sa poche étanche et j'ai coupé le cuir à sa taille définitive. J'ai obtenu un fourreau sec et en forme, rigide mais non cassant. J'ai taillé des pièces de cuir complémentaires : une bande pour tripler le cuir là où force le barillet et une là où s'appuie le pontet et enfin la pièce en cuir qui allait servir de passant pour le ceinturon.
Après avoir perforé les diverses pièces à l'alène j'ai commencé à coudre.
Le rabat qui sert de passant pour le ceinturon est d'une seule pièce pliée et rapportée sur le haut du corps du fourreau pour que la face lisse du cuir soit apparente tandis que la face pelucheuse reste au contact du ceinturon. Mais il fallait que les coutures fussent à l'abri du contact avec l'arme.
Toutes les coutures risquant d'être usées par le métal sont en fait enfoncées dans le cuir par une saignée que j'ai taillée au tranchet (mot français du vocabulaire des bourreliers et qui me plaît davantage que l’anglais "cul-terre") saignée où le cuir est à l'abri du contact direct avec le métal. Restait ensuite à concevoir l'attache du bord du rabat non cousu au fourreau. Le lacet de cuir me semblant une bonne solution, j'en ai utilisé un que j'ai tressé sur la partie visible de l'équipement et donc je me suis servi pour solidariser le retour de rabat avec le corps de l'étui. Il m'a suffi de percer deux trous œilletonnés de laiton par où faire passer le lacet. Récupéré sur de vieux mocassins, ces chaussures qu'on surnomme des "bateaux" ou, si on est encore plus snob, des "yotingue".
Cette vue présente la face de l'étui qui est au contact du corps du tireur et la façon dont le rabat-passant de ceinturon est fixé au fourreau.
Cette vue montre en gros plan le tressage du lacet, dont le rôle est ornemental et permet de disposer d'une réserve de lacet au cas pour celui qui relie les œillets du rabat-passant venaient à se casser. Depuis 1983, dater à laquelle j'ai fabriqué cet étui à revolver, rien n'a bougé et pourtant c'est dans cet accessoire que j'ai trimballé mon arme que ce soit dans les bois ou dans mes bateaux. Voilier en mer ou canoé en bois sur la rivière avec camping sauvage sur les îles de la Dordogne.
La vue ci-dessous présente la tranche arrière du fourreau et on distingue que le haut de la tranche arrière comporte une surépaisseur de cuir prise entre les deux faces du fourreau. Notez les coutures renforcées pour supporter les efforts que fournit le fourreau lorsqu'on court ou lorsqu'on monte à cheval. Il faut noter que même si le fourreau serre le revolver, le risque existe que l'arme en sorte accidentellement. Il faut noter l'anneau de calotte où je fixe la dragonne de sécurité. C'est la même qui me sert pour le LeMat.
Cette autre vue de la couture arrière montre l'endroit où s'arrête la bande de surépaisseur prise dans le couture du fourreau.
La photo ci-dessous montre l'ouverture du fond de fourreau. Le canon reste à l'intérieur et est dans une certaine mesure protégé des coups éventuels par le cuir épais.
Vu de haut, le revolver dans le fourreau, l'entrée du fourreau renforcée des bandes de cuirs rapportées serre l'arme en place.
Cette autre vue montre l'avant du pontet appuyé sur le cuir en triple épaisseur du haut de la couture du fourreau. Notez le fil de lin poissé et teint en noir qui résiste depuis plus de trente ans.
Cet équipement ne vise pas à l'élégance mais bien au côté pratique. Cela fait une arme portée haut au ceinturon, qui ne gène pas les mouvements. Avec le LeMat, on a vu que j'ai adopté un autre dispositif. L'arme est à mon goût trop encombrante pour être portée au ceinturon.
Dernière édition par Cobravif le Mer 5 Juil 2017 - 5:53, édité 1 fois (Raison : Correction de coquilles.)
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re : un étui pour mon Reb Confédéré de chez Uberti
Cobra : joli texte et joli matériel ! Un bel étui artisanal et une belle réplique Uberti !
Tu aurais pu nous montrer ton originel sudiste...
Il a dû y avoir de nombreuses versions de copies sudistes de Colt avec carcasse en
laiton ou en fer forgé, comme le tien...
Mais ce revolver à canon cylindrique a été identifié comme une copie sudiste du Navy 1851
fabriqué par les Ets Schneider & Glassick et portant sur plusieurs pièces le sigle 12M qu'on
n'a pas encore réussi à expliquer ; d'ailleurs, sa carcasse était en fer forgé et pas en laiton ;
un seul d'époque a été retrouvé et identifié... Il a peut-être été fabriqué par un ensemble de
plusieurs armuriers dont on ne sait rien...
Tu aurais pu nous montrer ton originel sudiste...
Il a dû y avoir de nombreuses versions de copies sudistes de Colt avec carcasse en
laiton ou en fer forgé, comme le tien...
Mais ce revolver à canon cylindrique a été identifié comme une copie sudiste du Navy 1851
fabriqué par les Ets Schneider & Glassick et portant sur plusieurs pièces le sigle 12M qu'on
n'a pas encore réussi à expliquer ; d'ailleurs, sa carcasse était en fer forgé et pas en laiton ;
un seul d'époque a été retrouvé et identifié... Il a peut-être été fabriqué par un ensemble de
plusieurs armuriers dont on ne sait rien...
Fortyniner- Messages : 2898
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