Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
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Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Bonjour à tous,
Tireur pratiquant hebdomadairement le tir à la PN, j'ai remarqué depuis maintenant 2 ans que le 1858 est l'arme qui occupe le plus les pas de tir. Il m'est arrivé parfois d'avoir 5 tireurs et 5 Remington à côté de moi. Quasiment tous en version 8" bronzé.
Alors, c'est pas tant un coup de gueule mais ça me déprime. Il y a une multitude d'armes PN et au final, dans mon stand, je vois toujours la même pour ainsi dire.
Est-ce que les ragots de stand et des forums ont pris le dessus pour conseiller aux tireurs une seule et unique arme pour faire de la PN ?
J'ai eu le bonheur de former deux nouveaux novices en PN. J'étais déçu de les voir tous les deux sortir un Rem bronzé. Un avait une excuse, il le tenait de son père...
Je trouve ça dommage. Parmi toutes les armes PN que j'ai pu essayer, il y en a plein qui sont formidables.
Tireur pratiquant hebdomadairement le tir à la PN, j'ai remarqué depuis maintenant 2 ans que le 1858 est l'arme qui occupe le plus les pas de tir. Il m'est arrivé parfois d'avoir 5 tireurs et 5 Remington à côté de moi. Quasiment tous en version 8" bronzé.
Alors, c'est pas tant un coup de gueule mais ça me déprime. Il y a une multitude d'armes PN et au final, dans mon stand, je vois toujours la même pour ainsi dire.
Est-ce que les ragots de stand et des forums ont pris le dessus pour conseiller aux tireurs une seule et unique arme pour faire de la PN ?
J'ai eu le bonheur de former deux nouveaux novices en PN. J'étais déçu de les voir tous les deux sortir un Rem bronzé. Un avait une excuse, il le tenait de son père...
Je trouve ça dommage. Parmi toutes les armes PN que j'ai pu essayer, il y en a plein qui sont formidables.
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
D'accord avec toi. Je fais partie de ceux qui militent pour la diversité. En matière d'armes à poudre noire, évidemment. Rien qu'en revolvers j'ai du 31 - Remington Pocket Pietta à cinq coups -, du .36 - Reb Confédéré Uberti -, du 44/cal 20 - LeMat Pietta -, du 11/12 mm - Lefaucheux d'époque, du 7 mm - Lefaucheux d'époque, du 320 - Le Bossu d'époque, en pistolet du 44 _ Kentucky à silex de chez Macris, du .41 - Mendi (espagnol) à percussion -, du 44 - Derringer de Philadelphie de chez Macris - et je ne parle pas des armes longues...
Mais j'ai vu un tireur avec un 1860 Colt de chez Uberti et un autre avec un 1858 Remington en 7 ou 8 ".
Je sais que d'autres armes circulent, mais depuis que j'ai rejoint ce club, en septembre, je n'ai vu que deux gusses qui soient venus tirer à poudre noire. Les autres poudreux sont venus avec des PSF. Moi aussi avec ma winch 1873. Je la charge en PSF.
Mais j'ai vu un tireur avec un 1860 Colt de chez Uberti et un autre avec un 1858 Remington en 7 ou 8 ".
Je sais que d'autres armes circulent, mais depuis que j'ai rejoint ce club, en septembre, je n'ai vu que deux gusses qui soient venus tirer à poudre noire. Les autres poudreux sont venus avec des PSF. Moi aussi avec ma winch 1873. Je la charge en PSF.
_________________
Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
j ai plusieurs type et marques d arme différente et mon préférer est le rem 1858 pourquoi ?
mecanique douce barillet facile a sortir , tres peu d amorces reste coincer on peu adapté le guidon au tireur
contre - il faut bien le nettoyer pour qu il reste efficace
en comparaison un colt est rustre mais plus facile a nettoyer
dragoon / walker je prend plaisir avec , navy reb confedere le choix du sud , le LEMAT pour moi juste un rêve (que j ai essayer) mais trop chere pour moi et d autres . . . . .
reste que mes rem 1858 en cal 44 est mon choix si je doit en garder qu 1
a vous de deffendre l unique revolver que vous devriez garder
mecanique douce barillet facile a sortir , tres peu d amorces reste coincer on peu adapté le guidon au tireur
contre - il faut bien le nettoyer pour qu il reste efficace
en comparaison un colt est rustre mais plus facile a nettoyer
dragoon / walker je prend plaisir avec , navy reb confedere le choix du sud , le LEMAT pour moi juste un rêve (que j ai essayer) mais trop chere pour moi et d autres . . . . .
reste que mes rem 1858 en cal 44 est mon choix si je doit en garder qu 1
a vous de deffendre l unique revolver que vous devriez garder
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
@ Graphist et Cobravif : Je suis d'accord avec vous !
Moi aussi, je ne vois pratiquement que du Rem 1858 Uberti, Pietta ou Pedersoli, dans mon misérable stand...
D'ailleurs, comme ce p..... d'extracteur de fumées n'est toujours pas réparé, je ne tire plus depuis un bon
bout de temps ; il n'y a qu'un pas de tir à 25 m dans cette casemate creusée sous les fortifications de
Saint-Lô et il ne compte que 5 postes de tir et j'envisage de plus en plus de changer de club et d'aller à
Bayeux où ça semble bien mieux, car il est en plein air, garni de nombreux tireurs et, j'espère, de plus
nombreux poudreux... Mais il est deux fois plus loin de chez moi...
Je pourrai ainsi, en plus de mes Rem 1858, faire parler mes Army 1860, mes Starr 1856 D.A. et 1863 S.A.,
mon Whitney, mon Spiller & Burr, mon Leech & Rigdon, mes Navy 1851 et 1861, mon Rogers & Spencer, mon
Griswold & Gunnison, mon Pocket 1862, mon Dance & Brothers et mes Schneider & Glassick.... et en faire
profiter les collègues pour les amener vers d'autres revolvers P.N.
Moi aussi, je ne vois pratiquement que du Rem 1858 Uberti, Pietta ou Pedersoli, dans mon misérable stand...
D'ailleurs, comme ce p..... d'extracteur de fumées n'est toujours pas réparé, je ne tire plus depuis un bon
bout de temps ; il n'y a qu'un pas de tir à 25 m dans cette casemate creusée sous les fortifications de
Saint-Lô et il ne compte que 5 postes de tir et j'envisage de plus en plus de changer de club et d'aller à
Bayeux où ça semble bien mieux, car il est en plein air, garni de nombreux tireurs et, j'espère, de plus
nombreux poudreux... Mais il est deux fois plus loin de chez moi...
Je pourrai ainsi, en plus de mes Rem 1858, faire parler mes Army 1860, mes Starr 1856 D.A. et 1863 S.A.,
mon Whitney, mon Spiller & Burr, mon Leech & Rigdon, mes Navy 1851 et 1861, mon Rogers & Spencer, mon
Griswold & Gunnison, mon Pocket 1862, mon Dance & Brothers et mes Schneider & Glassick.... et en faire
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Dernière édition par Fortyniner le Dim 20 Déc 2015 - 21:25, édité 2 fois
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
@ Graphist et Cobravif : Je suis d'accord avec vous !
Moi aussi, je ne vois pratiquement que du Rem 1858 Uberti, Pietta ou Pedersoli, dans mon misérable stand...
D'ailleurs, comme ce p..... d'extracteur de fumées n'est toujours pas réparé, je ne tire plus depuis un bon
bout de temps ; il n'y a qu'un pas de tir à 25 m dans cette casemate creusée sous les fortifications de
Saint-Lô et il ne compte que 5 postes de tir et j'envisage de plus en plus de changer de club et d'aller à
Bayeux où ça semble bien mieux, car il est en plein air, garni de nombreux tireurs et, j'espère, de plus
nombreux poudreux...
Je pourrai ainsi, en plus de mes Rem 1858, faire parler mes Army 1860, mes Starr 1856 D.A. et 1863 S.A.,
mon Whitney, mon Spiller & Burr, mon Leech & Rigdon, mes Navy 1851 et 1861, mon Rogers & Spencer, mon
Griswold & Gunnison, mon Pocket 1862, mon Dance & Brothers et mes Schneider & Glassick.... et en faire
profiter les collègues pour les amener vers d'autres revolvers P.N.
Moi aussi, je ne vois pratiquement que du Rem 1858 Uberti, Pietta ou Pedersoli, dans mon misérable stand...
D'ailleurs, comme ce p..... d'extracteur de fumées n'est toujours pas réparé, je ne tire plus depuis un bon
bout de temps ; il n'y a qu'un pas de tir à 25 m dans cette casemate creusée sous les fortifications de
Saint-Lô et il ne compte que 5 postes de tir et j'envisage de plus en plus de changer de club et d'aller à
Bayeux où ça semble bien mieux, car il est en plein air, garni de nombreux tireurs et, j'espère, de plus
nombreux poudreux...
Je pourrai ainsi, en plus de mes Rem 1858, faire parler mes Army 1860, mes Starr 1856 D.A. et 1863 S.A.,
mon Whitney, mon Spiller & Burr, mon Leech & Rigdon, mes Navy 1851 et 1861, mon Rogers & Spencer, mon
Griswold & Gunnison, mon Pocket 1862, mon Dance & Brothers et mes Schneider & Glassick.... et en faire
profiter les collègues pour les amener vers d'autres revolvers P.N.
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Fortyniner / Graphist /Cobravif - il faut en garder qu un tu prend le quel et pourquoi ? je ne suis pas sectaire et comprend les coups de coeur
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
@ Rangers : franchement, je ne sais pas lequel, car je les aime tous et je n'ai pas encore pu essayer
certains à cause des problèmes d'extracteur de fumées...
Peut-être le Starr S.A. 1863 pour sa gueule et son look spécial... (le Starr D.A. est assez capricieux)
Mais il a une prise en main particulière et j'ai de petites mains, alors peut-être le Whitney ou le Leech & Rigdon
qui sont en cal .36 et tombent bien dans ma menotte (LoL)... A voir après les essais...
certains à cause des problèmes d'extracteur de fumées...
Peut-être le Starr S.A. 1863 pour sa gueule et son look spécial... (le Starr D.A. est assez capricieux)
Mais il a une prise en main particulière et j'ai de petites mains, alors peut-être le Whitney ou le Leech & Rigdon
qui sont en cal .36 et tombent bien dans ma menotte (LoL)... A voir après les essais...
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Je garde mon Walker.
Il a une esthétique indéniable, un grand équilibre. Il en impose et force le respect de n'importe quel tireur.
De plus, avec son aspect patiné, il est superbe à regarder.
Il a ce look d'une arme vraiment ancienne, rustique, brute.
Il ne craint pas d'être sollicité. Toutes les pièces sont robustes, faites pour durer. Le levier de chargement est super costaud et ergonomique. Pas comme le Rem où il faut en prendre soin et prendre un chiffon pour pas se faire mal aux mains...
Les autres me demandent toujours comment je fais pour tirer à bras franc avec.
Voici quelques remarques qu'on fait quand je le sors :
" C'est un vrai ?"
" Attention, il a encore un truc qui déménage"
" Le canon antichar est de retour"
" Qu'est ce qu'il est lourd, j'arrive pas à le lever avec ma tandinite"
Rien que pour ça, je le garde bien au chaud
Il a une esthétique indéniable, un grand équilibre. Il en impose et force le respect de n'importe quel tireur.
De plus, avec son aspect patiné, il est superbe à regarder.
Il a ce look d'une arme vraiment ancienne, rustique, brute.
Il ne craint pas d'être sollicité. Toutes les pièces sont robustes, faites pour durer. Le levier de chargement est super costaud et ergonomique. Pas comme le Rem où il faut en prendre soin et prendre un chiffon pour pas se faire mal aux mains...
Les autres me demandent toujours comment je fais pour tirer à bras franc avec.
Voici quelques remarques qu'on fait quand je le sors :
" C'est un vrai ?"
" Attention, il a encore un truc qui déménage"
" Le canon antichar est de retour"
" Qu'est ce qu'il est lourd, j'arrive pas à le lever avec ma tandinite"
Rien que pour ça, je le garde bien au chaud
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
rangers a écrit:Fortyniner / Graphist /Cobravif - il faut en garder qu un tu prend le quel et pourquoi ? je ne suis pas sectaire et comprend les coups de coeur
J'exclus de mon choix le "d'époque" qui reste dans mon coffre. Si je ne devais garder qu'une réplique, ce serait mon LeMat. Pour le cœur et la raison.
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Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
que des armes mythique , des coups de coeur
bien que le LEMAT avec 9 coups + 1 est d une puissance de feu enorme
bien que le LEMAT avec 9 coups + 1 est d une puissance de feu enorme
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Cobravif a écrit:D'accord avec toi. Je fais partie de ceux qui militent pour la diversité. En matière d'armes à poudre noire, évidemment. Rien qu'en revolvers j'ai du 31 - Remington Pocket Pietta à cinq coups -, du .36 - Reb Confédéré Uberti -, du 44/cal 20 - LeMat Pietta -, du 11/12 mm - Lefaucheux d'époque, du 7 mm - Lefaucheux d'époque, du 320 - Le Bossu d'époque, en pistolet du 44 _ Kentucky à silex de chez Macris, du .41 - Mendi (espagnol) à percussion -, du 44 - Derringer de Philadelphie de chez Macris - et je ne parle pas des armes longues...
Mais j'ai vu un tireur avec un 1860 Colt de chez Uberti et un autre avec un 1858 Remington en 7 ou 8 ".
Je sais que d'autres armes circulent, mais depuis que j'ai rejoint ce club, en septembre, je n'ai vu que deux gusses qui soient venus tirer à poudre noire. Les autres poudreux sont venus avec des PSF. Moi aussi avec ma winch 1873. Je la charge en PSF.
J'aimerai bien une Winchester aussi, une 44-40 ?
TRINITA- Messages : 1120
Date d'inscription : 12/12/2015
Age : 51
Localisation : Pays Noyonnais
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
rangers a écrit:j ai plusieurs type et marques d arme différente et mon préférer est le rem 1858 pourquoi ?
mecanique douce barillet facile a sortir , tres peu d amorces reste coincer on peu adapté le guidon au tireur
contre - il faut bien le nettoyer pour qu il reste efficace
en comparaison un colt est rustre mais plus facile a nettoyer
dragoon / walker je prend plaisir avec , navy reb confedere le choix du sud , le LEMAT pour moi juste un rêve (que j ai essayer) mais trop chere pour moi et d autres . . . . .
reste que mes rem 1858 en cal 44 est mon choix si je doit en garder qu 1
a vous de deffendre l unique revolver que vous devriez garder
C'est à peu prés ce que l'on m'a dit " Si tu veux commencer en PN, prends un 1858 cal.44, tu seras 100% satisfait pour tes débuts "
TRINITA- Messages : 1120
Date d'inscription : 12/12/2015
Age : 51
Localisation : Pays Noyonnais
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
comme dis plus haut ni sectaire ni raciste
une partie de mes jouets
une partie de mes jouets
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
mais le seul "unique" a son arrivé a la maison
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
@ Rangers : jolis joujoux ! Si ce n'est qu'une partie de ta collection, on espère voir le reste bientôt !
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Bonsoir tout le monde, saches Rangers que quelque soit le stand où tu discutes, le forum où tu postes, tu auras TOUJOURS les mêmes avis partagés !!!
Bien que mon tout premier fut un Rem acheté en 1970, que je possède toujours, MON FAVORI POUR L'ESTHETIQUE, LE FONCTIONNEMENT, LA FACILITE D'ENTRETIEN, LA TENUE EN MAIN, bref, le meilleur et le plus beau est Le 1860 :
Bien que mon tout premier fut un Rem acheté en 1970, que je possède toujours, MON FAVORI POUR L'ESTHETIQUE, LE FONCTIONNEMENT, LA FACILITE D'ENTRETIEN, LA TENUE EN MAIN, bref, le meilleur et le plus beau est Le 1860 :
Au début de cette année, un pote du club m'a demandé X conseils pour démarrer le tir PN voulant changer de ses PSF. Nous avons parlé au bureau du stand pendant un bon moment il a pris des notes et a commandé..........................un Rem inox avec visée réglable; le traître !!! Ce n'est bien sur pas tout à fait ce que je lui avais conseillé d'acheter, mais, chacun fait c'qu'il lui plaît...(Chagrin d'amour pour ceux qui connaissent...)
DW.
Dan Wesson- Messages : 1944
Date d'inscription : 06/04/2012
Age : 74
Localisation : Derrière la Roche de Solutré
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
@ Dan W. : Eh oui, ton collègue a suivi la meute qui choisit le Rem 1858...
Je comprends que, comme nombre d'adhérents à notre forum, tu sois plus ou moins inconditionnel
du Colt 1860 Army, mais le Rem a fait ses preuves irréfutables depuis sa création en 1858 et a été
considéré depuis son arrivée entre les mains des hommes de l'ouest comme une arme fidèle et
soutenant largement la comparaison avec les Colt (et nettement moins chère, à l'époque)...
Après, c'est une question d'égouts et de couleuvres...
Pour moi, je ne me contente pas de ces deux modèles et j'aime mes Starr, Leech & Rigdon, Whitney
et autres belles pétoires de ma très modeste collection...
Je comprends que, comme nombre d'adhérents à notre forum, tu sois plus ou moins inconditionnel
du Colt 1860 Army, mais le Rem a fait ses preuves irréfutables depuis sa création en 1858 et a été
considéré depuis son arrivée entre les mains des hommes de l'ouest comme une arme fidèle et
soutenant largement la comparaison avec les Colt (et nettement moins chère, à l'époque)...
Après, c'est une question d'égouts et de couleuvres...
Pour moi, je ne me contente pas de ces deux modèles et j'aime mes Starr, Leech & Rigdon, Whitney
et autres belles pétoires de ma très modeste collection...
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Aaahhh, Forty, tu es un incorrigible du Rem, comment veux-tu que je te dégoûte de ce pseudo revolver ?! Impossible
Non, sans dec, j'emmène parfois mon Rem au stand, la dernière fois que cela c'est produit, mon barillet s'est bloqué ou tout du moins avait une rotation difficile due à l'encrassement après trois tirs seulement (trois barillets tirés). Jamais avec l'un de mes Colt ! Na ! C'est comme ça et pas autrement !
DW.
Non, sans dec, j'emmène parfois mon Rem au stand, la dernière fois que cela c'est produit, mon barillet s'est bloqué ou tout du moins avait une rotation difficile due à l'encrassement après trois tirs seulement (trois barillets tirés). Jamais avec l'un de mes Colt ! Na ! C'est comme ça et pas autrement !
DW.
Dan Wesson- Messages : 1944
Date d'inscription : 06/04/2012
Age : 74
Localisation : Derrière la Roche de Solutré
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Ah le 1860, le parfait équilibre... Un super tenue en mains. Et un groupement (Uberti) à faire pâlir un Rem...
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
@ Dan W. : C'est étonnant : le Rem est très bien réputé et plébiscité par la plupart des
tireurs PN ! D'ailleurs, je n'en suis pas un "inconditionnel" car j'aime tirer avec d'autres revolvers...
Les pseudo "problèmes" du Rem viennent probablement du fait que ceux qui préfèrent les Colt ne les aiment
pas et qu'ils le ressentent...
Je n'ai pas encore vu des utilisateurs de Rem s'en plaindre ; ou alors, ils ont de mauvaises répliques ?
tireurs PN ! D'ailleurs, je n'en suis pas un "inconditionnel" car j'aime tirer avec d'autres revolvers...
Les pseudo "problèmes" du Rem viennent probablement du fait que ceux qui préfèrent les Colt ne les aiment
pas et qu'ils le ressentent...
Je n'ai pas encore vu des utilisateurs de Rem s'en plaindre ; ou alors, ils ont de mauvaises répliques ?
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Je vous entends épiloguer, discourir, tirer même, sur ou avec Colt, Remington et t'essaieras et t'essaieras...
Soit mais moi qui ne suis pas partie preante dans ces débats, je voudrais apporter ma modeste contribution pour éclairer ceux qui sont encore à l'heure du choix entre Colt et Remington. Moi j'ai choisi... LeMat, Lefaucheux, Le Bossu... Colt et même Remington. Mais ayant étudié l'histoire des armes, j'ai réuni quelques éléments sur la façon dont les chercheurs sont arrivés à la mise au point du Remington 1858.
Mon cher ami, (je réponds au courrier privé d'un ami très cher qui ne jure que par Colt).
Un Remington Euroarms, ça casse aux points faibles de tous les revolvers à poudre noire.
Mais surtout, que ça reste entre nous.
Autrement sinon, les remingtonnistes vont te pourchasser dans tous les cañons, sierras, impasses, traboules, couloirs de mines et réserves indiennes de ce forum, avec des propos sentencieux du genre: "Eh, cher monsieur, auriez vous l'obligeance de bien vouloir dégainer l'amas de ferraille qui vous sert de décoration de ceinturon, que nous puissions comparer les qualités respectives de nos glorieuses raies Minh Thong et de la production de M. Samuel qui se prétend Col. Colt."
Car il paraît que la raie Ming Thong a été inventée dans l'arrière-cuisine d'un restaurant de poisson tenu par un certain Ming Li Fu, blanchisseur attitré du 7e de Cavalerie, qui avait fait faillite à cause des guerres indiennes qui avaient décimé ses pratiques.
Ledit Ming Li Fu s'était donc reconverti et avait installé dans Coyote Gulch un restaurant de poisson qui avait du mal à trouver du poisson parce qu'il était à trois mille kilomètres de la mer.
Donc dans son arrière boutique, M. Ming Li Fu décida-t-il d'utiliser du caoutchouc durci, qu'on venait d'inventer, pour en faire des sortes de sandales simples avec la bride passant entre les orteils. Une version chinoise de cette chaussure que portaient les Japonais depuis des siècles sous le nom de "zoori". Il décida d'appeler cette chaussure nouvelle la "raie" - parce que la forme de la chaussure avant assemblage rappelait ce poisson plat que le blanchisseur-cuisinier-savetier aurait bien aimé cuisiner si la mer n'avait été si loin - et il adjoignit un nom bien de chez lui "Ming Thong", Ming pour son prénom qui rappelait une grande dynastie de son pays natal et Thong parce que voilà quoi.
Et ce qui est curieux, c'est que ce nom qu'il avait adjoint en final et sans raison à celui de son invention est le seul qui soit passé à la postérité.
Seulement, un jour où il a eu un client pour sa fameuse raie à l'huile de vidange de machine à vapeur de pompe de puits, il fut inculpé d'empoisonnement parce que son client devint aveugle et se mit à délirer, en disant même qu'un jour viendrait où le Président des États-Unis serait un Noir dont la grand-mère vivrait à Hawaï ; c'est dire s'il était atteint !
Devant la gravité de son état, le jury du tribunal itinérant du Juge Roy Bean condamna le Chinois soit à finir l'assiette de poisson du client, soit à 1857 ans de pénitencier (1857 ans, parce que le Juge savait à peine lire et qu’il a donc pris comme durée de peine l'année au cours de laquelle le procès avait lieu). Mind Li Fu fit le bon choix et opta pour le pénitencier se disant que pendant la durée de sa peine il trouverait bien le moyen d'inventer quelque chose pour en devenir propriétaire.
Mais, pour monter son arnaque, il lui fallait un peu de pognon. Par intermédiaire de son avocat, il prit donc contact avec un mécanicien spécialisé de Ilion qui lui racheta le brevet de sa sandale.
Le détenu et l'avocat marron se partagèrent le montant de la vente. Mais bien que véreux, l'avocat n'était pas de taille. En effet, il est un dicton qui fait autorité dans le monde des affaires : "Il faut trois Juifs pour faire un Grec, mais dix Grecs pour faire un Chinois."
L'avocat se trouva donc marron pour de bon et Ming Li Fu se retrouva propriétaire du pénitencier de Las Vegas. Il vendit les détenus, dont l'avocat, au Consul Général de Chine à San Francisco, un village mexicain où les Chinois entassaient des rails de chemin de fer, et transforma le pénitencier en hôtel-casino en espérant que ça marcherait. Il paraît que l'affaire a prospéré depuis.
Le mécanicien d'Ilion a essayé de fabriquer les sandales, mais si les images étaient compréhensibles, les données écrites étaient des petits dessins incompréhensibles. Un gamin dégourdi qui venait du Tonkin, un certain Ho Chi Minh, a traduit, moyennant finances, les petits dessins. Cela ne correspondait pas exactement aux images mais le courageux mécanicien finit par sortir son premier prototype.
Il déposa le brevet de ce qui était importable comme chaussure mais entrait parfaitement dans le fourreau de cuir pour revolver des uniformes de milices et de l'armée. Et en bon États-unien, il américanisa le nom en Remington. C'était en 1858, un an après la vente du brevet par Ming Li Fu. C'est qu'avec le développement de la machine à vapeur, les choses commençaient à aller vite en Amérique !
Des originaux ont donc commencé à se servir de ces sandales comme ils avaient appris au sortir de l'enfance, vers l'âge de trois ans : ils y firent entrer de la poudre à fusil piquée dans la tabatière de leur papa, des balles de plomb volées dans le dentier de leur grand-mère et il y posèrent les amorces de leur oncle pécheur, amorces au fulminate de mercure qui faisaient fuir les poissons. C'est ainsi que le Remington trouva, tout à fait par hasard, un rôle dans le monde des revolvers.
Mais surtout, Cher ami, si tu relaies cette histoire vers certains membres de ce forum, ne leur dis pas que c'est la raison qui pourrait faire qu'un Remington tire comme une savate. Nous serions deux à les avoir aux fesses dans les traboules, cañons, etc. (voir ci-dessus) du forum.
Vous comprenez bien que de ma part, ce courrier n'est que veulerie pour plaire à un ami qui tire mieux que moi et non une prise de position qui demanderait un courage proche de la témérité. Et un coup de bonne humeur du soir qui m'a donné envie de raconter n'importe quoi.
Soit mais moi qui ne suis pas partie preante dans ces débats, je voudrais apporter ma modeste contribution pour éclairer ceux qui sont encore à l'heure du choix entre Colt et Remington. Moi j'ai choisi... LeMat, Lefaucheux, Le Bossu... Colt et même Remington. Mais ayant étudié l'histoire des armes, j'ai réuni quelques éléments sur la façon dont les chercheurs sont arrivés à la mise au point du Remington 1858.
Mon cher ami, (je réponds au courrier privé d'un ami très cher qui ne jure que par Colt).
Un Remington Euroarms, ça casse aux points faibles de tous les revolvers à poudre noire.
Mais surtout, que ça reste entre nous.
Autrement sinon, les remingtonnistes vont te pourchasser dans tous les cañons, sierras, impasses, traboules, couloirs de mines et réserves indiennes de ce forum, avec des propos sentencieux du genre: "Eh, cher monsieur, auriez vous l'obligeance de bien vouloir dégainer l'amas de ferraille qui vous sert de décoration de ceinturon, que nous puissions comparer les qualités respectives de nos glorieuses raies Minh Thong et de la production de M. Samuel qui se prétend Col. Colt."
Car il paraît que la raie Ming Thong a été inventée dans l'arrière-cuisine d'un restaurant de poisson tenu par un certain Ming Li Fu, blanchisseur attitré du 7e de Cavalerie, qui avait fait faillite à cause des guerres indiennes qui avaient décimé ses pratiques.
Ledit Ming Li Fu s'était donc reconverti et avait installé dans Coyote Gulch un restaurant de poisson qui avait du mal à trouver du poisson parce qu'il était à trois mille kilomètres de la mer.
Donc dans son arrière boutique, M. Ming Li Fu décida-t-il d'utiliser du caoutchouc durci, qu'on venait d'inventer, pour en faire des sortes de sandales simples avec la bride passant entre les orteils. Une version chinoise de cette chaussure que portaient les Japonais depuis des siècles sous le nom de "zoori". Il décida d'appeler cette chaussure nouvelle la "raie" - parce que la forme de la chaussure avant assemblage rappelait ce poisson plat que le blanchisseur-cuisinier-savetier aurait bien aimé cuisiner si la mer n'avait été si loin - et il adjoignit un nom bien de chez lui "Ming Thong", Ming pour son prénom qui rappelait une grande dynastie de son pays natal et Thong parce que voilà quoi.
Et ce qui est curieux, c'est que ce nom qu'il avait adjoint en final et sans raison à celui de son invention est le seul qui soit passé à la postérité.
Seulement, un jour où il a eu un client pour sa fameuse raie à l'huile de vidange de machine à vapeur de pompe de puits, il fut inculpé d'empoisonnement parce que son client devint aveugle et se mit à délirer, en disant même qu'un jour viendrait où le Président des États-Unis serait un Noir dont la grand-mère vivrait à Hawaï ; c'est dire s'il était atteint !
Devant la gravité de son état, le jury du tribunal itinérant du Juge Roy Bean condamna le Chinois soit à finir l'assiette de poisson du client, soit à 1857 ans de pénitencier (1857 ans, parce que le Juge savait à peine lire et qu’il a donc pris comme durée de peine l'année au cours de laquelle le procès avait lieu). Mind Li Fu fit le bon choix et opta pour le pénitencier se disant que pendant la durée de sa peine il trouverait bien le moyen d'inventer quelque chose pour en devenir propriétaire.
Mais, pour monter son arnaque, il lui fallait un peu de pognon. Par intermédiaire de son avocat, il prit donc contact avec un mécanicien spécialisé de Ilion qui lui racheta le brevet de sa sandale.
Le détenu et l'avocat marron se partagèrent le montant de la vente. Mais bien que véreux, l'avocat n'était pas de taille. En effet, il est un dicton qui fait autorité dans le monde des affaires : "Il faut trois Juifs pour faire un Grec, mais dix Grecs pour faire un Chinois."
L'avocat se trouva donc marron pour de bon et Ming Li Fu se retrouva propriétaire du pénitencier de Las Vegas. Il vendit les détenus, dont l'avocat, au Consul Général de Chine à San Francisco, un village mexicain où les Chinois entassaient des rails de chemin de fer, et transforma le pénitencier en hôtel-casino en espérant que ça marcherait. Il paraît que l'affaire a prospéré depuis.
Le mécanicien d'Ilion a essayé de fabriquer les sandales, mais si les images étaient compréhensibles, les données écrites étaient des petits dessins incompréhensibles. Un gamin dégourdi qui venait du Tonkin, un certain Ho Chi Minh, a traduit, moyennant finances, les petits dessins. Cela ne correspondait pas exactement aux images mais le courageux mécanicien finit par sortir son premier prototype.
Il déposa le brevet de ce qui était importable comme chaussure mais entrait parfaitement dans le fourreau de cuir pour revolver des uniformes de milices et de l'armée. Et en bon États-unien, il américanisa le nom en Remington. C'était en 1858, un an après la vente du brevet par Ming Li Fu. C'est qu'avec le développement de la machine à vapeur, les choses commençaient à aller vite en Amérique !
Des originaux ont donc commencé à se servir de ces sandales comme ils avaient appris au sortir de l'enfance, vers l'âge de trois ans : ils y firent entrer de la poudre à fusil piquée dans la tabatière de leur papa, des balles de plomb volées dans le dentier de leur grand-mère et il y posèrent les amorces de leur oncle pécheur, amorces au fulminate de mercure qui faisaient fuir les poissons. C'est ainsi que le Remington trouva, tout à fait par hasard, un rôle dans le monde des revolvers.
Mais surtout, Cher ami, si tu relaies cette histoire vers certains membres de ce forum, ne leur dis pas que c'est la raison qui pourrait faire qu'un Remington tire comme une savate. Nous serions deux à les avoir aux fesses dans les traboules, cañons, etc. (voir ci-dessus) du forum.
Vous comprenez bien que de ma part, ce courrier n'est que veulerie pour plaire à un ami qui tire mieux que moi et non une prise de position qui demanderait un courage proche de la témérité. Et un coup de bonne humeur du soir qui m'a donné envie de raconter n'importe quoi.
_________________
Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
tiens j ai un copain qui ne jure que par son pistolet derringer a percussion
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
Re : le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Ah les délicieux délires de l'ami Cobra !
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
Ah...Cobravif, quel plaisir que de relire cette fameuse histoire de la raie...
"Je n'ai pas encore vu des utilisateurs de Rem s'en plaindre ; ou alors, ils ont de mauvaises répliques ?"
Ou alors, ils sont de mauvaise foi...(Comme moi peut-être !!!)
DW.
"Je n'ai pas encore vu des utilisateurs de Rem s'en plaindre ; ou alors, ils ont de mauvaises répliques ?"
Ou alors, ils sont de mauvaise foi...(Comme moi peut-être !!!)
DW.
Dan Wesson- Messages : 1944
Date d'inscription : 06/04/2012
Age : 74
Localisation : Derrière la Roche de Solutré
Re: Le 1858, une arme (trop) présente sur les pas de tir
donc on disait , un rem 58 , un colt 60 , un walker , un LEMAT , 4 cafes , un peu de mauvaise foi , l addition !
si avec sa on ne s amuse pas sur les pas de tir
si avec sa on ne s amuse pas sur les pas de tir
rangers- Messages : 698
Date d'inscription : 06/12/2015
Age : 52
Localisation : west - sud west
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