RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
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RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Une question relative à la solidité et à la résistance du laiton. Sur un COLT 1860 Army comme sur le COLT 1851, le ressort de détente est fixé par une vis en acier dans le laiton, il en est de même sous la crosse du 1851: 2 pièces laiton réunies par une vis en acier. J'ai des doutes sur la longévité des filets des taraudages. Sans exagérer le serrage, le laiton offre t'il, à votre avis, une bonne résistance dans le temps ?
ALAN_67220- Messages : 68
Date d'inscription : 19/02/2015
Age : 73
Localisation : Vallée d'Alsace Bas-Rhin
Re: RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Si j'en crois mon expérience, ça a l'air de tenir. Mais il comme pour toutes les vis y compris dans le métal des carcasses acier, à force de démonter et remonter, les filets s'usent.
Rappel : les carcasses d'acier de nos répliques sont en acier à ferrer les lapins. D'abord parce que c’était pareil pour les armes d'époque ensuite parce que cela permet un usinage précis avec moins d'usure des outils de coupe et des fraises. Rien d'aberrant en cela, seuls les barillets ont besoin d'être résistants et les canons assez durs pour ne pas voir disparaître les rayures dans le temps. Les barillets ont donc une trempe dure mais qui garde une certaine élasticité et les canons, surdimensionnés, ont une trempe plus dure* qui serait cassante pour un barillet.
Autant dire qu'il ne faut pas passer son temps à démonter et remonter les vis des carcasses.
Le démontage pour nettoyage ne comprend pas à chaque tir de démonter tout le mécanisme. Un démontage et nettoyage complet de temps en temps suffit.
Le nettoyage d'après chaque séance de tir consiste à enlever le barillet, démonter les cheminées, laver et sécher le barillet, dont ses chambres, et les cheminées. Bien enlever toute la calamine qui a sali l'âme du canon, l'extérieur de l'arme et le chien. En tout état de cause, sur un colt à percussion il n'est besoin de démonter le grand ressort que pour le changer.
J'ai une réplique Uberti de Griswold et Gunnison achetée neuve en 1970 et les vis de carcasse n'ont pas encore usé les filets des trous de la carcasse. Et il a plus de 2000 barillets tirés à son actif.
De même qu'une arme doit être huilée mais non une frite, de même il ne faut pas abuser des démontages-remontages.
* mais sans comparaison avec la trempe d'un canon d'arme à PSF et balles blindées ni avec elle d'un canon de Santa Barbara.Rappel : les carcasses d'acier de nos répliques sont en acier à ferrer les lapins. D'abord parce que c’était pareil pour les armes d'époque ensuite parce que cela permet un usinage précis avec moins d'usure des outils de coupe et des fraises. Rien d'aberrant en cela, seuls les barillets ont besoin d'être résistants et les canons assez durs pour ne pas voir disparaître les rayures dans le temps. Les barillets ont donc une trempe dure mais qui garde une certaine élasticité et les canons, surdimensionnés, ont une trempe plus dure* qui serait cassante pour un barillet.
Autant dire qu'il ne faut pas passer son temps à démonter et remonter les vis des carcasses.
Le démontage pour nettoyage ne comprend pas à chaque tir de démonter tout le mécanisme. Un démontage et nettoyage complet de temps en temps suffit.
Le nettoyage d'après chaque séance de tir consiste à enlever le barillet, démonter les cheminées, laver et sécher le barillet, dont ses chambres, et les cheminées. Bien enlever toute la calamine qui a sali l'âme du canon, l'extérieur de l'arme et le chien. En tout état de cause, sur un colt à percussion il n'est besoin de démonter le grand ressort que pour le changer.
J'ai une réplique Uberti de Griswold et Gunnison achetée neuve en 1970 et les vis de carcasse n'ont pas encore usé les filets des trous de la carcasse. Et il a plus de 2000 barillets tirés à son actif.
De même qu'une arme doit être huilée mais non une frite, de même il ne faut pas abuser des démontages-remontages.
Dernière édition par Cobravif le Lun 15 Avr 2019 - 3:21, édité 1 fois (Raison : Ajout de texte.)
_________________
Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re : RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
à Cobravif :
Tes conseils sont toujours justifiés et bienvenus !
Cependant, j'aime assez démonter intégralement mes revolvers après une séance au stand
avec toutes les précautions utiles, évidemment...
Je ne tire que 4 ou 5 barillets par session et encore pas chaque semaine, selon nos disponibilités...
Sur certains modèles, comme le R & S, ce n'est pas toujours facile, surtout pour le grand ressort
mais c'est une "corvée" que j'apprécie, malgré tout, surtout avec la satisfaction de constater que
l'arme fonctionne ensuite sans problème...
Récemment, j'ai pris l'habitude de laisser tremper les cheminées et les pièces du mécanisme interne
dans l'acétone et je trouve que ça les nettoie bien ; je suis tenté d'y plonger aussi canon et barillet,
à moins que tu ne m'en dissuades... Un bac à ultrasons serait-il indiqué ?
Bonne semaine à toi !
Tes conseils sont toujours justifiés et bienvenus !
Cependant, j'aime assez démonter intégralement mes revolvers après une séance au stand
avec toutes les précautions utiles, évidemment...
Je ne tire que 4 ou 5 barillets par session et encore pas chaque semaine, selon nos disponibilités...
Sur certains modèles, comme le R & S, ce n'est pas toujours facile, surtout pour le grand ressort
mais c'est une "corvée" que j'apprécie, malgré tout, surtout avec la satisfaction de constater que
l'arme fonctionne ensuite sans problème...
Récemment, j'ai pris l'habitude de laisser tremper les cheminées et les pièces du mécanisme interne
dans l'acétone et je trouve que ça les nettoie bien ; je suis tenté d'y plonger aussi canon et barillet,
à moins que tu ne m'en dissuades... Un bac à ultrasons serait-il indiqué ?
Bonne semaine à toi !
Dernière édition par Fortyniner le Lun 15 Avr 2019 - 19:04, édité 1 fois
Fortyniner- Messages : 2881
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 74
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
j'utilise un bac a ultrason chauffant, je mets: eau chaude (ça gagne du temps) avec une "giclette" de produit vaisselle, barillets et cheminées ressortent impeccable!
une session de 20 min suffit. mon bac n'est malheureusement pas assez grand pour recevoir tout type d'arme (1858 ne rentre pas) les colts pas de soucis.
ça va bien.
une session de 20 min suffit. mon bac n'est malheureusement pas assez grand pour recevoir tout type d'arme (1858 ne rentre pas) les colts pas de soucis.
ça va bien.
Invité- Invité
slybzh- Messages : 663
Date d'inscription : 08/02/2015
Localisation : Bretagne
Re : RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
sporty :
je vais peut-être essayer de trouver un bac à ultrasons assez grand, même pour mon Walker,
quoique en pièces détachées, il devrait y rentrer, le canon de 9" fait 22,5 cm..
slybzh ;
Oui, j'ai aussi acheté ce "pingouin" qui permet de se passer du sèche-cheveux car
la vapeur est très chaude, pour ne pas dire bouillante : c'est bon marché et très
efficace... Sinon, la vieille méthode avec l'eau chaude + liquide vaisselle fonctionne bien aussi...
je vais peut-être essayer de trouver un bac à ultrasons assez grand, même pour mon Walker,
quoique en pièces détachées, il devrait y rentrer, le canon de 9" fait 22,5 cm..
slybzh ;
Oui, j'ai aussi acheté ce "pingouin" qui permet de se passer du sèche-cheveux car
la vapeur est très chaude, pour ne pas dire bouillante : c'est bon marché et très
efficace... Sinon, la vieille méthode avec l'eau chaude + liquide vaisselle fonctionne bien aussi...
Fortyniner- Messages : 2881
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 74
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Fortyniner a écrit:à Cobravif :
Récemment, j'ai pris l'habitude de laisser tremper les cheminées et les pièces du mécanisme interne
dans l'acétone et je trouve que ça les nettoie bien ; je suis tenté d'y plonger aussi canon et barillet,
à moins que tu ne m'en dissuades... Un bac à ultrasons serait-il indiqué ?
Bonne semaine à toi !
Je n'ai pas de nettoyeur à ultrasons mais je sais que c'est très efficace pour nettoyer les carburateurs des scooters, tondeuses et autres motoculteurs.
En ce qui concerne l'acétone, c'est un très efficace dégraissant mais il faut alors bien rehuiler les pièces. Attention à ne surtout pas utiliser sur les pièces phosphatées.
En ce qui concerne l'acétone, c'est un très efficace dégraissant mais il faut alors bien rehuiler les pièces. Attention à ne surtout pas utiliser sur les pièces phosphatées.
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Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re : RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Cobravif :
Merci pour ton avis éclairé !
Mais quelles sont ces pièces "phosphatées"
Depuis que j'utilise au trempage l'acétone, les pièces du mécanisme en ressortent très propres
et je ne constate pas de problème...
Quant au bac à ultrasons, je ne connais pas ses caractéristiques techniques, sa consommation
en électricité etc... et ses dimensions me semblent assez réduites, sans parler de son prix (je
viens de jeter un oeil sur le Net) qui oscille entre plus de 100 € et 450 €... A méditer...
Bonne journée à toi et à madame Cobravive !
Merci pour ton avis éclairé !
Mais quelles sont ces pièces "phosphatées"
Depuis que j'utilise au trempage l'acétone, les pièces du mécanisme en ressortent très propres
et je ne constate pas de problème...
Quant au bac à ultrasons, je ne connais pas ses caractéristiques techniques, sa consommation
en électricité etc... et ses dimensions me semblent assez réduites, sans parler de son prix (je
viens de jeter un oeil sur le Net) qui oscille entre plus de 100 € et 450 €... A méditer...
Bonne journée à toi et à madame Cobravive !
Fortyniner- Messages : 2881
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 74
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
et oui, un bac a ultrason coute un bras, et plus c'est grand, plus ça coute!
le miens m'avait couté dans les 120€ de mémoire.... pour 3,5L .
le seul défaut: le bruit, ça fou un bordel quand c'est en marche!!!! (désolé pour l'expression, mais faut le dire quand même)
je m'en sert pour le nettoyage des carburateurs motos, mobylettes, etc ... principalement.
le miens m'avait couté dans les 120€ de mémoire.... pour 3,5L .
le seul défaut: le bruit, ça fou un bordel quand c'est en marche!!!! (désolé pour l'expression, mais faut le dire quand même)
je m'en sert pour le nettoyage des carburateurs motos, mobylettes, etc ... principalement.
Invité- Invité
Re : RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
sporty :
Merci pour cet avis intéressant : du coup, à part le prix, c'est très bruyant !
Je pense que je vais m'en passer, alors...
Merci pour cet avis intéressant : du coup, à part le prix, c'est très bruyant !
Je pense que je vais m'en passer, alors...
Fortyniner- Messages : 2881
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 74
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Fortyniner a écrit: Cobravif :
...
Mais quelles sont ces pièces "phosphatées"
...
Le phosphatage est un traitement de surface des métaux ferreux, une sorte de bronzage, qui couvre le métal d'une pellicule mate de couleur gris légèrement verdâtre.
Le procédé revient à sabler une pièce d'acier et ensuite à l'enduire d'une solution d'acide phosphorique dans de l'eau chaude.
Il se forme alors à la surface de la pièce une couche de phosphate de fer qui protège la pièce de l'oxydation.
Seulement, pour que le phosphatage tiennent dans le temps, il faut maintenir la surface légèrement grasse en la "mouillant" d'huile. Pour ce faire, on enduit la pièce d'huile de vaseline, encore elle, et ensuite on sèche bien l'ensemble avec un chiffon propre. Au toucher, la pièce est sèche mais l'huile a imprégné le phosphate de fer et le rend solidaire du métal qu'il recouvre.
Si on dégraisse le phosphatage avec un dégraissant comme le trichloréthylène, le perchloroéthylène ou l'acétone, alors le phosphate de fer n'adhère plus à l'acier et on se retrouve avec des mains sales de gris-vert et une surface sablée brillante. Et disponible pour la rouille.
On trouve par exemple le phosphatage sur les pistolets militaires comme les Colt 1911 militaires de la seconde guerre mondiale, sur les MAC 50, les AA 52 ou les AAN F1. Les poignées-pistolet des MG 42 et les MG 3 (les MG 42 en calibre 308 qui équipaient les unités de la Bundeswehr lorsque j'étais en activité) étaient toutes phosphatées. Les FSA 49 et 49-56 étaient phosphatés.
Le phosphatage donne des surfaces grises et mates. On ne le trouve pas sur les armes du XIXe siècle et donc en principe pas sur nos répliques. Aussi cette mise en garde de ma part s'adresse-t-elle à des lecteurs qui outre le tir aux armes à poudre noire pratiqueraient le TAR avec des armes de la Seconde Guerre Mondiale.
Le procédé revient à sabler une pièce d'acier et ensuite à l'enduire d'une solution d'acide phosphorique dans de l'eau chaude.
Il se forme alors à la surface de la pièce une couche de phosphate de fer qui protège la pièce de l'oxydation.
Seulement, pour que le phosphatage tiennent dans le temps, il faut maintenir la surface légèrement grasse en la "mouillant" d'huile. Pour ce faire, on enduit la pièce d'huile de vaseline, encore elle, et ensuite on sèche bien l'ensemble avec un chiffon propre. Au toucher, la pièce est sèche mais l'huile a imprégné le phosphate de fer et le rend solidaire du métal qu'il recouvre.
Si on dégraisse le phosphatage avec un dégraissant comme le trichloréthylène, le perchloroéthylène ou l'acétone, alors le phosphate de fer n'adhère plus à l'acier et on se retrouve avec des mains sales de gris-vert et une surface sablée brillante. Et disponible pour la rouille.
On trouve par exemple le phosphatage sur les pistolets militaires comme les Colt 1911 militaires de la seconde guerre mondiale, sur les MAC 50, les AA 52 ou les AAN F1. Les poignées-pistolet des MG 42 et les MG 3 (les MG 42 en calibre 308 qui équipaient les unités de la Bundeswehr lorsque j'étais en activité) étaient toutes phosphatées. Les FSA 49 et 49-56 étaient phosphatés.
Le phosphatage donne des surfaces grises et mates. On ne le trouve pas sur les armes du XIXe siècle et donc en principe pas sur nos répliques. Aussi cette mise en garde de ma part s'adresse-t-elle à des lecteurs qui outre le tir aux armes à poudre noire pratiqueraient le TAR avec des armes de la Seconde Guerre Mondiale.
Dernière édition par Cobravif le Mer 17 Avr 2019 - 4:55, édité 2 fois (Raison : Correction de coquilles.)
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Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les orgueilleux, les prétentieux et les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Ne faisant pas partie de leur classe, je n'ai jamais rencontré les autres.
Re : RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Cobravif : Merci pour ces précisions très intéressantes ! Comme je n'ai que des répliques, je suis soulagé...
Fortyniner- Messages : 2881
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 74
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
RESISTANCE ET LONGEVITE DES TARAUDAGES LAITON
Cobravif a écrit:Si j'en crois mon expérience, ça a l'air de tenir. Mais il comme pour toutes les vis y compris dans le métal des carcasses acier, à force de démonter et remonter, les filets s'usent.* mais sans comparaison avec la trempe d'un canon d'arme à PSF et balles blindées ni avec elle d'un canon de Santa Barbara.
Rappel : les carcasses d'acier de nos répliques sont en acier à ferrer les lapins. D'abord parce que c’était pareil pour les armes d'époque ensuite parce que cela permet un usinage précis avec moins d'usure des outils de coupe et des fraises. Rien d'aberrant en cela, seuls les barillets ont besoin d'être résistants et les canons assez durs pour ne pas voir disparaître les rayures dans le temps. Les barillets ont donc une trempe dure mais qui garde une certaine élasticité et les canons, surdimensionnés, ont une trempe plus dure* qui serait cassante pour un barillet.
Autant dire qu'il ne faut pas passer son temps à démonter et remonter les vis des carcasses.
Le démontage pour nettoyage ne comprend pas à chaque tir de démonter tout le mécanisme. Un démontage et nettoyage complet de temps en temps suffit.
Le nettoyage d'après chaque séance de tir consiste à enlever le barillet, démonter les cheminées, laver et sécher le barillet, dont ses chambres, et les cheminées. Bien enlever toute la calamine qui a sali l'âme du canon, l'extérieur de l'arme et le chien. En tout état de cause, sur un colt à percussion il n'est besoin de démonter le grand ressort que pour le changer.
J'ai une réplique Uberti de Griswold et Gunnison achetée neuve en 1970 et les vis de carcasse n'ont pas encore usé les filets des trous de la carcasse. Et il a plus de 2000 barillets tirés à son actif.
De même qu'une arme doit être huilée mais non une frite, de même il ne faut pas abuser des démontages-remontages.
Merci pour tous ces renseignements !
J'ai un côté perfectionniste qui parfois n'est pas raisonnable.
ALAN_67220- Messages : 68
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