Le revolver "TRANTER"
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Le revolver "TRANTER"
Ayant contracté très jeune la passion des armes, j'avais environ 12 ans lorsque l'on m'a donné un revolver qui est à l'origine de ma collection
Ce revolver "traînait" sur un établi, et le responsable de l'atelier sachant que comme tous les gamins j'aimais jouer aux CowBoys me l'a donné.
En recherchant l'historique de ce revolver, j'ai découvert qu'un revolver semblable avait été offert au Général confédéré JEB STUART par un de ses officier, Heros Von BORCKE de l'armée prussienne qui à épousé la cause confédérée
Au Smithsonian Institute est exposé un coffret contenant un revolver Tranter qui fut offert (la plaque gravée l'atteste) à Jeb Stuart par von Borcke en juin 1863.
La vie de Von BORCKE à tout de l'épopée, ci-dessous un petit extrait de ses exploits pendant la Civil War
"Ayant demandé sa mise en congé de l'armée prussienne, le jeune géant débarque en mai 1862 à Charleston d'un forceur de blocus, arrive à Richmond, capitale de la Confédération, se présente à l'état-major sudiste et finit par obtenir du Secrétaire d'État à la guerre George W. Randolph l'affectation (avec le grade de capitaine-aide de camp) à la suite du flamboyant major général de la cavalerie James Ewell Brown Stuart. Jeb Stuart teste le prussien, qui devient rapidement son ami intime et l'accompagne sur les champs de bataille : Campagne de Virginie du Nord, Campagne du Maryland, raid du « contournement de l'armée de McClellan », Bataille de Fredericksburg, Bataille de Chancellorsville, Bataille de Kelly's Ford.
Von Bocke, outre sa stature, son courage et sa force physique, impressionne par l'aisance avec laquelle il manie une grande épée droite (digne successeur de celles des Chevaliers Teutoniques).
Il a en effet apporté dans ses bagages sa « pallasch », son sabre droit de cavalerie Modèle 1816 N 2 et le porte au côté, tant comme symbole de son hérédité chevaleresque que pour respecter sa formation de cuirassier : elle lui avait appris l'importance de l'énergie cinétique et la supériorité de la frappe en estoc lors d'une charge.
Ce sabre (conservé aujourd'hui au Capitole de Richmond, en Virginie, dut surprendre les cavaliers américains qui ne pratiquaient pas la tactique des charges massives de cavalerie et avaient déjà pour les missions qui leur étaient dévolues (reconnaissance, harcèlement et éventuellement combat rapproché) pratiquement abandonné l'arme blanche. Ils trouvaient de loin préférables les armes à feu modernes, soit courtes et à répétition (du type revolver), soit très dispersantes, comme le fusil de chasse, capable aussi par sa puissance d'impact d'abattre à bout portant un ennemi même lancé au galop. Un autre soldat européen, Arthur Fremantle, jeune capitaine des Coldstream Guards de la reine Victoria du Royaume-Uni venu en 1863 oberver la guerre de Sécession, notera plusieurs fois dans son "diary" que les cavaliers américains négligent absolument le sabre : ils ne cherchent pas le corps-à-corps, s'étonne-t-il, mais s'arrêtent à une quarantaine de "yards" (environ 30 mètres) de l'ennemi, et utilisent alors leurs revolvers et leur fusil de chasse. Et Fremantle de noter aussi que la plupart n'ont même pas de sabre, ou bien le portent "coincé entre la selle et la cuisse gauche, ce qui est comique" 1.
L'association de Jeb Stuart, le « Dandy Dragoon » et de von Borcke, le « Giant Gray », ne tarde pas à frapper les esprits, tant chez les Unionistes que chez les Confédérés. Von Borcke est promu au grade de « major » en août 1862. Jeb Stuart se fait représenter par son ami von Borcke lors des funérailles solennelles à Richmond de John Pelham (officier d'artillerie), le "Gallant Pelham", jeune chef de son artillerie montée, qui avait été tué lors de la Bataille de Kelly's Ford, le 17 mars 1863.
Les exploits de von Borcke pendant les campagnes de Virginie du Nord et du Maryland, et la renommée que les correspondants de guerre (et les opérateurs de la photographie débutante) lui acquirent dans les journaux Sudistes et Européens, augmentaient le prestige de la cause confédérée, et remplissaient les Prussiens de fierté.
En effet la modernité de la guerre de Sécession se retrouve jusque dans l'utilisation de la propagande, et la cavalerie, arme de prestige, y participait puissamment.
C'est ainsi que le 5 juin 1863, près de Brandy Station (Virginie), après la Bataille de Chancellorsville, la cavalerie de Jeb Stuart, pour fêter la victoire confédérée, offre avec éclat un genre de « fantasia » à la « high society » sudiste (et à la presse) : après que Jeb Stuart et son état-major, foulant des roses jetées par des enfants sur leur passage, aient salué les spectateurs, les cavaliers gris, au triple galop, tirant au revolver (à blanc) et poussant leur fameux « rebell yell » prirent d'assaut une « redoute nordiste » qui faisait feu (à blanc) de toutes ses pièces. Le tout sous les applaudissements frénétiques de l'assistance massée dans des tribunes, où d'ailleurs les dames s'évanouissaient en grand nombre. Et comme le généralissime Robert Lee n'avait pu assister à la grande revue du 5 juin, une autre eut lieu le 8 juin, ce qui (associé aux festivités consécutives...) acheva d'épuiser les hommes et leurs montures.
Mais ce déploiement de forces attire l'attention des espions fédéraux du général Joseph Hooker, et son adjoint Alfred Pleasonton, voyant là l'occasion de recommencer (avec cette fois plus d'atouts) la tentative de Kelly's Ford, fait traverser le Rappahannock à une importante force combinée associant cavalerie et infanterie. Le 9 juin 1863 à l'aube, les cavaliers gris sont réveillés par les troupes nordistes, et tout leur panache et leurs charges répétées (Brandy Station est selon les commentateurs américains la plus grande bataille de cavalerie de la guerre, qui signe la fin de la suprématie des cavaliers sudistes) n'ont comme résultat que d'écarter l'adversaire qui néanmoins les fixe sur place, les empêchant de jouer leur rôle d' « yeux et oreilles de l'armée » de Lee, alors qu'il entamait la campagne de Gettysburg. Du reste, au cours de cette campagne, Jeb Stuart, après avoir été harceler les faubourgs de Washington, ne peut qu'empêcher le nordiste George Gordon Meade de poursuivre les Confédérés qui se replient après Gettysburg.
Au début de la Campagne de Gettysburg, lors de la Bataille de Middleburg (17 juin 1863), von Borcke reçoit une balle à la base du cou. Sa convalescence dure plusieurs mois.
Von Borcke reprend les armes au printemps 1864, et il assiste à la Bataille de Yellow Tavern (11 mai 1864) contre la cavalerie de Philip Sheridan, pendant laquelle Jeb Stuart est mortellement blessé d'une balle.
En décembre 1864, le président de la Confédération Jefferson Davis nomme von Borcke lieutenant-colonel et envoie l'aristocrate prussien en mission diplomatique auprès de la reine Victoria du Royaume-UniN 3.
Au printemps 1865, quand il est évident que la cause sudiste était perdue, Von Borcke rentre en Prusse.
Les trois décades suivantes"
On croirait lire le scénario d'un film de John FORD .............
Voilà pourquoi j'ai choisi pour Avatar "Tranter"
Ce revolver "traînait" sur un établi, et le responsable de l'atelier sachant que comme tous les gamins j'aimais jouer aux CowBoys me l'a donné.
En recherchant l'historique de ce revolver, j'ai découvert qu'un revolver semblable avait été offert au Général confédéré JEB STUART par un de ses officier, Heros Von BORCKE de l'armée prussienne qui à épousé la cause confédérée
Au Smithsonian Institute est exposé un coffret contenant un revolver Tranter qui fut offert (la plaque gravée l'atteste) à Jeb Stuart par von Borcke en juin 1863.
La vie de Von BORCKE à tout de l'épopée, ci-dessous un petit extrait de ses exploits pendant la Civil War
"Ayant demandé sa mise en congé de l'armée prussienne, le jeune géant débarque en mai 1862 à Charleston d'un forceur de blocus, arrive à Richmond, capitale de la Confédération, se présente à l'état-major sudiste et finit par obtenir du Secrétaire d'État à la guerre George W. Randolph l'affectation (avec le grade de capitaine-aide de camp) à la suite du flamboyant major général de la cavalerie James Ewell Brown Stuart. Jeb Stuart teste le prussien, qui devient rapidement son ami intime et l'accompagne sur les champs de bataille : Campagne de Virginie du Nord, Campagne du Maryland, raid du « contournement de l'armée de McClellan », Bataille de Fredericksburg, Bataille de Chancellorsville, Bataille de Kelly's Ford.
Von Bocke, outre sa stature, son courage et sa force physique, impressionne par l'aisance avec laquelle il manie une grande épée droite (digne successeur de celles des Chevaliers Teutoniques).
Il a en effet apporté dans ses bagages sa « pallasch », son sabre droit de cavalerie Modèle 1816 N 2 et le porte au côté, tant comme symbole de son hérédité chevaleresque que pour respecter sa formation de cuirassier : elle lui avait appris l'importance de l'énergie cinétique et la supériorité de la frappe en estoc lors d'une charge.
Ce sabre (conservé aujourd'hui au Capitole de Richmond, en Virginie, dut surprendre les cavaliers américains qui ne pratiquaient pas la tactique des charges massives de cavalerie et avaient déjà pour les missions qui leur étaient dévolues (reconnaissance, harcèlement et éventuellement combat rapproché) pratiquement abandonné l'arme blanche. Ils trouvaient de loin préférables les armes à feu modernes, soit courtes et à répétition (du type revolver), soit très dispersantes, comme le fusil de chasse, capable aussi par sa puissance d'impact d'abattre à bout portant un ennemi même lancé au galop. Un autre soldat européen, Arthur Fremantle, jeune capitaine des Coldstream Guards de la reine Victoria du Royaume-Uni venu en 1863 oberver la guerre de Sécession, notera plusieurs fois dans son "diary" que les cavaliers américains négligent absolument le sabre : ils ne cherchent pas le corps-à-corps, s'étonne-t-il, mais s'arrêtent à une quarantaine de "yards" (environ 30 mètres) de l'ennemi, et utilisent alors leurs revolvers et leur fusil de chasse. Et Fremantle de noter aussi que la plupart n'ont même pas de sabre, ou bien le portent "coincé entre la selle et la cuisse gauche, ce qui est comique" 1.
L'association de Jeb Stuart, le « Dandy Dragoon » et de von Borcke, le « Giant Gray », ne tarde pas à frapper les esprits, tant chez les Unionistes que chez les Confédérés. Von Borcke est promu au grade de « major » en août 1862. Jeb Stuart se fait représenter par son ami von Borcke lors des funérailles solennelles à Richmond de John Pelham (officier d'artillerie), le "Gallant Pelham", jeune chef de son artillerie montée, qui avait été tué lors de la Bataille de Kelly's Ford, le 17 mars 1863.
Les exploits de von Borcke pendant les campagnes de Virginie du Nord et du Maryland, et la renommée que les correspondants de guerre (et les opérateurs de la photographie débutante) lui acquirent dans les journaux Sudistes et Européens, augmentaient le prestige de la cause confédérée, et remplissaient les Prussiens de fierté.
En effet la modernité de la guerre de Sécession se retrouve jusque dans l'utilisation de la propagande, et la cavalerie, arme de prestige, y participait puissamment.
C'est ainsi que le 5 juin 1863, près de Brandy Station (Virginie), après la Bataille de Chancellorsville, la cavalerie de Jeb Stuart, pour fêter la victoire confédérée, offre avec éclat un genre de « fantasia » à la « high society » sudiste (et à la presse) : après que Jeb Stuart et son état-major, foulant des roses jetées par des enfants sur leur passage, aient salué les spectateurs, les cavaliers gris, au triple galop, tirant au revolver (à blanc) et poussant leur fameux « rebell yell » prirent d'assaut une « redoute nordiste » qui faisait feu (à blanc) de toutes ses pièces. Le tout sous les applaudissements frénétiques de l'assistance massée dans des tribunes, où d'ailleurs les dames s'évanouissaient en grand nombre. Et comme le généralissime Robert Lee n'avait pu assister à la grande revue du 5 juin, une autre eut lieu le 8 juin, ce qui (associé aux festivités consécutives...) acheva d'épuiser les hommes et leurs montures.
Mais ce déploiement de forces attire l'attention des espions fédéraux du général Joseph Hooker, et son adjoint Alfred Pleasonton, voyant là l'occasion de recommencer (avec cette fois plus d'atouts) la tentative de Kelly's Ford, fait traverser le Rappahannock à une importante force combinée associant cavalerie et infanterie. Le 9 juin 1863 à l'aube, les cavaliers gris sont réveillés par les troupes nordistes, et tout leur panache et leurs charges répétées (Brandy Station est selon les commentateurs américains la plus grande bataille de cavalerie de la guerre, qui signe la fin de la suprématie des cavaliers sudistes) n'ont comme résultat que d'écarter l'adversaire qui néanmoins les fixe sur place, les empêchant de jouer leur rôle d' « yeux et oreilles de l'armée » de Lee, alors qu'il entamait la campagne de Gettysburg. Du reste, au cours de cette campagne, Jeb Stuart, après avoir été harceler les faubourgs de Washington, ne peut qu'empêcher le nordiste George Gordon Meade de poursuivre les Confédérés qui se replient après Gettysburg.
Au début de la Campagne de Gettysburg, lors de la Bataille de Middleburg (17 juin 1863), von Borcke reçoit une balle à la base du cou. Sa convalescence dure plusieurs mois.
Von Borcke reprend les armes au printemps 1864, et il assiste à la Bataille de Yellow Tavern (11 mai 1864) contre la cavalerie de Philip Sheridan, pendant laquelle Jeb Stuart est mortellement blessé d'une balle.
En décembre 1864, le président de la Confédération Jefferson Davis nomme von Borcke lieutenant-colonel et envoie l'aristocrate prussien en mission diplomatique auprès de la reine Victoria du Royaume-UniN 3.
Au printemps 1865, quand il est évident que la cause sudiste était perdue, Von Borcke rentre en Prusse.
Les trois décades suivantes"
On croirait lire le scénario d'un film de John FORD .............
Voilà pourquoi j'ai choisi pour Avatar "Tranter"
tranter- Messages : 299
Date d'inscription : 28/12/2012
Age : 80
Localisation : Pas loin du chateau de la Duchesse Anne
Re: Le revolver "TRANTER"
Belle histoire, Tranter, et surtout magnifique revolver. Je suis particulièrement sensible à l'élégance de ses gravures. J'aimerais trouver un 1851 portant le même genre de décor, surtout sur son barillet.
Ringo-Woody- Messages : 414
Date d'inscription : 22/03/2012
Age : 69
Re: Le revolver "TRANTER"
Le virus des armes m'est arrivé un tout petit peu plus tard, j'avais une quinzaine d'années lorsqu'un ami d'enfance me donna un petit revolver qu'il avait "emprunté" à sa grand-mère (qui n'en sut sans doute jamais rien...). Il ne s'agissait pas d'un Tranter, mais d'un British Bulldog, arme de destruction massive comme vous le savez, qui m'aurait coûté beaucoup de sous en amendes (enfin à mes parents) et sans doute trente ans de maison de correction !!! Heureusement, depuis quelques temps, ces petits revolvers sont classés en D, collection...
C'est celui du milieu, il est toujours mien. A l'époque, mon grand-père connaissait bien un armurier local, lequel m'a fait parvenir des cartouches à blanc en .320, juste pour faire le coup de feu avec les copains les jeudis après-midi lors de nos batailles de cow-boys et indiens....Et ça n'a plus arrêté.
DW.
C'est celui du milieu, il est toujours mien. A l'époque, mon grand-père connaissait bien un armurier local, lequel m'a fait parvenir des cartouches à blanc en .320, juste pour faire le coup de feu avec les copains les jeudis après-midi lors de nos batailles de cow-boys et indiens....Et ça n'a plus arrêté.
DW.
Dan Wesson- Messages : 1944
Date d'inscription : 06/04/2012
Age : 74
Localisation : Derrière la Roche de Solutré
Re: Le revolver "TRANTER"
Nous avons commencé tôt ...
Toujours à la recherche de belles pièces
Toujours à la recherche de belles pièces
tranter- Messages : 299
Date d'inscription : 28/12/2012
Age : 80
Localisation : Pas loin du chateau de la Duchesse Anne
Re: Le revolver "TRANTER"
Bravo Tranter , magnifique ce jouet !!!!! quelle chance ce gamin a eu , juste à l'âge ou les passions se développent , moi c'était les oiseaux à cette époque , les armes c'est venu quelques années plus tard .
Vraiment superbe , merci de nous en faire profiter
TEX
Vraiment superbe , merci de nous en faire profiter
TEX
_________________
L'herbe est toujours plus verte de l'autre coté de la clôture
http://www.armes-ufa.com/
Re : le revolver Tranter
@ Tranter : belle histoire, en effet, que celle que tu nous as racontée là !
Je ne sais pas si tu es adhérent au Club Confédéré et Fédéral de France, mais tu pourrais
en faire partie car tu me sembles très intéressé par la Civil War, comme moi ; j'ai quitté ce
Forum suite à plusieurs différends musclés (en paroles) avec un certain "Flo", qui me semble
un imbuvable individu ombrageux et plein de hargne ; il est comme beaucoup d'autres adhérents
très pointu dans le domaine de la Civil War mais intransigeant ; je dois reconnaître que je n'ai
pas apporté grand chose au Forum, étant plutôt dilettante, mais tout de même...
Quant au virus des armes, je l'ai contracté assez jeune, avant dix ans, sauf erreur, ayant possédé
des carabines et pistolets à plombs et des revolvers ou pistolets à bandes d'amorces et autres...
Vers 22 ans, j'ai acheté ma première réplique de Colt 1851 Navy à carcasse laiton dont je ne sais
pas de quel fabricant il provenait ni son code d'année, étant ignorant en la matière, à l'époque,
puis quelques années plus tard, j'ai acquis une réplique espagnole de Rem 1858, peut-être un
Santa Barbara (!) que j'ai revendus et que je regrette, évidemment...
Vers les années 1995, j'ai contracté le virus de la P.N. et acquis un Walker Uberti, deux 1860 Army,
un Pocket 1849 et un Police 1862 ; j'ai tout revendu faute de satisfaction au stand ; peu après,
repris par le virus, j'ai commencé à racheter des revolvers P.N. et j'en suis à 18 actuellement, modeste
collection que j'espère étoffer selon le temps et mon maigre budget loisirs...
Je ne sais pas si tu es adhérent au Club Confédéré et Fédéral de France, mais tu pourrais
en faire partie car tu me sembles très intéressé par la Civil War, comme moi ; j'ai quitté ce
Forum suite à plusieurs différends musclés (en paroles) avec un certain "Flo", qui me semble
un imbuvable individu ombrageux et plein de hargne ; il est comme beaucoup d'autres adhérents
très pointu dans le domaine de la Civil War mais intransigeant ; je dois reconnaître que je n'ai
pas apporté grand chose au Forum, étant plutôt dilettante, mais tout de même...
Quant au virus des armes, je l'ai contracté assez jeune, avant dix ans, sauf erreur, ayant possédé
des carabines et pistolets à plombs et des revolvers ou pistolets à bandes d'amorces et autres...
Vers 22 ans, j'ai acheté ma première réplique de Colt 1851 Navy à carcasse laiton dont je ne sais
pas de quel fabricant il provenait ni son code d'année, étant ignorant en la matière, à l'époque,
puis quelques années plus tard, j'ai acquis une réplique espagnole de Rem 1858, peut-être un
Santa Barbara (!) que j'ai revendus et que je regrette, évidemment...
Vers les années 1995, j'ai contracté le virus de la P.N. et acquis un Walker Uberti, deux 1860 Army,
un Pocket 1849 et un Police 1862 ; j'ai tout revendu faute de satisfaction au stand ; peu après,
repris par le virus, j'ai commencé à racheter des revolvers P.N. et j'en suis à 18 actuellement, modeste
collection que j'espère étoffer selon le temps et mon maigre budget loisirs...
Fortyniner- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/07/2013
Age : 75
Localisation : Aux confins de la Manche et du Calvados
Re: Le revolver "TRANTER"
Bonjour Fortyniner
Non je ne suis pas membre du club en question
Il est vrai que j'ai réorienté ma collection sur l'époque de la Civil War
En revendant certaines armes j'ai pu avoir quelques originaux (j'en ai présenté quelques un sur le forum)
Il y a également les répliques (une quinzaine .....)
Je continue à persévérer .....j'attends un petit Remington Pocket (Pietta) .......
Non je ne suis pas membre du club en question
Il est vrai que j'ai réorienté ma collection sur l'époque de la Civil War
En revendant certaines armes j'ai pu avoir quelques originaux (j'en ai présenté quelques un sur le forum)
Il y a également les répliques (une quinzaine .....)
Je continue à persévérer .....j'attends un petit Remington Pocket (Pietta) .......
tranter- Messages : 299
Date d'inscription : 28/12/2012
Age : 80
Localisation : Pas loin du chateau de la Duchesse Anne
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