cartouche papier ou chargement traditionell

re bonjour, ma première question  , vos t'il recharger traditionnelle ou avec des cartouches papier .
1) traditionnel c'est quoi entre 1 g et 1 .20 de poudre noire . boulet de 454.et pnf2 .
ou cartouche papier genre h&c. Charge traditionnelle avec graissage des chambres du barillet .
; et pour cartouche papier il faut graisser le les chambre du barillet aussi

je vous salut amicalement  Massada

On fait comme on veut, les deux sont bons..

Moi, je charge "traditionnel", à l'ancienne, comme on dit, dose de PNF 2 (0,6 à 0,8 g en cal .36

et 0,8 à 1 g en cal .44, mais chacun doit trouver la dose qui lui convient), semoule en proportion

pour laisser la place au boulet (en 450, .451, .454 ou .457 selon le type d'arme et les goûts), ou

pas de semoule, bourre ou pas bourre... Trop de poudre nuit à la précision, parfois, et ça gâche de la poudre...

D'autres préfèrent les cartouches papier ou les gargousses (voir Cobravif), à doser en PN comme on veut...  

la longueur du canon a aussi une grosse influence sur le chargement (quantité de poudre)

 sporty  :  tu crois ? Il faudrait demander à Cobravif, notre maître à tous...  

ou à Duncan, ou à Tex, ou à Dan Wesson........................

c'est ce que j'ai remarqué ...
exemple en 36:
avec canon de 5"1/2; 0,6g a 0,8g vont parfaitement bien au delà "ça claque" trop ...
avec canon de 7" je trouve que 0,8g est "faiblard" 1g va bien et 1,2g "ça claque" ...

par contre j'ai fais un tour sur des forums us en PN, ils tirent pas avec des "minis charges" comme chez nous, la semoule .... ils connaissent pas ....
la charge mini en 44 c'est le bec de poire a poudre 24 grains ... et certains montent a 2g assez facilement et très majoritairement .....

Massada , il faut poster les sujets dans les rubriques appropriées , cette rubrique concerne uniquement les présentations.
Je déplace donc ce sujet à la bonne place .

TEX TONE .

oui le canon a une très grande importance
exemple simple
si ta poudre brûle 1 g pour 5 cm de canon
un canon de 10 cm sera au top de ces performances a 2 g de poudre
en ne mettant que 1 g de pn on divise ; la vitesse de l ogive ; le recul de l arme et pour fourtyniner la consommation de poudre
en divisant ou multipliant par 2 la quantité de poudre les résultats ne sont pas multiplier ou diviser par 2 (sa serai trop simple)
et en mettant 3 g de poudre pour 5 cm de canon ; la poudre sera éjecter du canon pour brûler a l extérieur
dans nos revolvers a poudre noire la poudre brûle par l arrière et les gaz de combustion pousse dans l ordre , la poudre , la bourre , l ogive la graisse .
la bonne dose c est quand l ogive frappe le point visé
allez cherché dans les post de cobravif il en a fais un plus détailler et scientifique sur la balistique

La balistique intérieure est un peu plus compliquée que cela. Les règles de calcul des quantités de poudre noire pour un projectile donné sont fonction effectivement de la longueur de canon mais aussi et surtout de la masse du projectile et de la nature des rayures.
Lorsque j'évoque la longueur du canon, je pense surtout à l'architecture générale, arme de poing, arme semi longue (carabine pour engagement dans les cent mètres) ou arme longue pour le tir de précision à grande distance. Encore que dans ce dernier cas, même si le diamètre de l'arme de tir à longue distance a le même calibre que l'arme de poing le projectile est en général différent de forme.
Avec les progrès de la technologie de l'armurerie on a adopté une méthode de conception de l'arme autour d'une munition donnée.
Dans le sujet qui nous occupe, les poudres noires sont des poudres vives à relativement faible pression de fonctionnement. On ne peut donc pas transposer aux armes de poing à poudre noire les données et formules qui s'appliquent désormais aux munitions à poudres sans fumées aux progressivités très différentes les unes des autres.
Les différences de H+L d'une charge à l'autre que l'on attribue souvent à un facteur peuvent en fait avoir des causes lplus diverses et qui se combinent. Pour une charge donnée, la forme des rayures a son importance. Il est constant toutefois que la surcharge ne sert à rien qu'à gaspiller de la poudre et faire trop de bruit. Avec une charge trop faible, la vitesse initiale baisse beaucoup et est irrégulière. Souvenons-nous que si nos armes sont des armes de guerre ou des répliques de ces armes, la capacité de chambre permettant une charge plus forte que celle préconisée comme normale par le constructeur avait en général pour but d'éviter l'éclatement de l'arme en cas de surcharge accidentelle due à la tension nerveuse du combat. Le demande particulière de Walker qui a conduit Colt à mettre au point sa pièce d'artillerie relativement portable est un cas particulier. Pour les armes de modèle commun mais avec des déclinaisons de longueur de canon différentes, voire plusieurs canons interchangeables pour une même arme, même si le banc à rayer était le même, on peut constater des variations de H+L pour une même charge avec des canons différents en longueur.
La tentation est grande d'attribuer ceci à la seule longueur. Ce peut être une erreur montrée par l'expérience qui consiste à tirer avec la même charge des projectiles différents en forme donc en masse. Ainsi, il m'est arrivé d'essayer le colt 1860 d'un ami - réplique italienne - avec deux canons l'un "normal" et l'autre beaucoup plus long genre Buntline. Le propriétaire, qui connaît son affaire, tirait avec des ogivales coulées au moule Lyman dans le canon long et des sphériques dans le normal. Et ceci avec la même poire à poudre et le même bec. Et la même poudre noire de chasse qui était la seule disponible là où nous étions à ce moment-là.
Selon lui, une permutation des balles entre les deux canons donnait un H+L très affecté dans les deux canons. Donc, là ce n’était pas la charge de poudre qui était en cause. Avec le canon normal il fallait des sphériques, avec le canon long les résultats étaient meilleurs avec un type d'ogivale obtenue dans un moule Lyman. Mais en fait cela confirme les expérimentations de Rangers : il faut chercher et tâtonner et faire son expérience. C'est le plaisir de notre discipline de la poudre noire.